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Q4801

no 4801
01-Oct-2020 12:10:05 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
Steve Scully - modérateur du 2e débat présidentiel
https://smpa.gwu.edu/steve-scully
« Pendant ses études universitaires, il a été stagiaire au bureau du sénateur du Delaware Joseph R. Biden, …. »
Un système truqué?
Q

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MON ANALYSE
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Si vous avez eu le plaisir (ou non) d’écouter le premier débat présidentiel de mardi dernier avec Joe Biden et Donald Trump, vous êtes peut-être repartis avec l’impression que Trump se battait contre deux adversaires, Joe et le modérateur, Chris Wallace. Connaissant Wallace depuis plusieurs années, je n’ai absolument pas été étonné de son biais anti-Trump.

Beaucoup de gens disent que Wallace a coupé la parole à Trump près de 70 fois et seulement 13 fois pour Biden. Mais, on va se le dire, Trump aurait pu laisser parler Biden plus souvent aussi. À un certain moment, c’était désagréable.

Malgré tout ça, Wallace a ressorti des choses complètement mensongères dans le seul et unique but de faire mal paraître Trump. Par exemple, il a ramené sur la place publique l’incident de Charlottesville, où, lors d’une manifestation, un suprémaciste blanc à accéléré avec sa voiture dans une foule, tuant une personne et en blessant 28.

Suite à l’attaque, Trump, lors d’une conférence de presse, à adressé les événements en disant qu’au départ, il y avait des gens biens (dans le sens de paisibles et respectueux) des deux côtés de la manifestation. Immédiatement après, il a condamné toute forme de violence raciale ainsi que le suprémacisme blanc. Mais les médias de masse, les ennemis du peuple, ont publié UNIQUEMENT le segment de Trump qui dit qu’il y avait des gens biens des deux côtés, et l’ont fait passer pour quelqu’un qui supportait le suprémacisme blanc. C’était complètement disgracieux et franchement dégueulasse.

Wallace savait très bien que Trump avait condamné cette attaque ainsi que le suprémacisme blanc à plusieurs reprises dans le passé. Pour lui, de ramener cet événement lors du débat était d’une incroyable bassesse.

Maintenant, dans ce post de Q, il nous parle de Steve Scully, qui sera le modérateur du 2e débat présidentiel (le 15 octobre à 21h, heure de l’Est). Pendant ses études universitaires, Scully a été stagiaire au bureau du sénateur Joseph R. Biden du Delaware, puis assistant au bureau de communication du sénateur Edward M. Kennedy. Steve Scully est le producteur exécutif senior, le rédacteur politique et l’animateur principal de C-SPAN. Pour l’instant, je n’ai pas de raison de croire qu’il sera biaisé, mais l’avenir nous le dira.

En passant, le 1er débat vice-présidentiel entre Kamala Harris et Mike Pence aura lieu le 7 octobre et sera modéré par Susan Page, la cheffe du bureau de Washington pour le USA TODAY. Il est à noter que Page a organisé une fête fin 2018 pour Seema Verma, qui dirige les programmes Medicare et Medicaid de l’administration Trump. Elle aurait payé de sa poche plus de 4 000 dollars pour couvrir les frais de restauration et autres frais de réception. Il y a des appels à ce qu’elle se retire du débat, citants un possible conflit d’intérêt.

AJOUT

Ah, et bien, à la lumière de nouvelle information, voici un tweet de Steve Scully, datant du 18 mars 2016.  twitter.com/SteveScully/status/710943428314419201

« Non. Pas Trump, Jamais. »

L’opinion présentée par le New York Times dit que les électeurs méritent le respect, mais cette année, leur candidat n’en mérite pas. En voici une partie:

Donald Trump est un affront aux normes fondamentales d’honnêteté, de vertu et de citoyenneté. Il pollue l’atmosphère dans laquelle nos enfants sont élevés. Il a déjà mis en pièces les règles tacites de la civilité politique qui rendent la conversation possible. Dans son régime sauvage, la vie publique n’est qu’une guerre de chiens contre tous.

Comme les fondateurs l’auraient compris, il est une menace pour la longue et glorieuse expérience de l’autonomie américaine. Il est précisément le genre de bouc émissaire, de prometteur, de conducteur de peur et de démagogue trompeur qu’ils craignaient.

Les partisans de Trump méritent le respect. Ils sont laissés en dehors de cette économie. Mais Trump lui-même? Non, pas Trump, jamais.

 

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