Je combine 4796 et 4797 ici.
no 4796
30-Sep-2020 11:14:31 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
>>10863556
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ALERTE D’ÉTAT PROFOND
Le mari de Maureen Comey (la fille de James Comey) prend la relève d’AUDREY STRAUSS, la procureure américaine du SDNY, qui a inculpé GHISLAINE MAXWELL….
twitter.com/rn__deplorable/status/1311497053038686208
Suivez des yeux.
Suivez la famille.
Q
no 4797
30-Sep-2020 11:30:47 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
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Q, la fille de Comey a enquêté sur le suicide d’Epstein.
Et son mari s’occupe du cas de ghislaine maxwell ????
>>10864024
Croyez-vous aux coïncidences?
Q
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MON ANALYSE
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Q a parlé à plusieurs reprises du SDNY, le la division du district-sud de New York pour le Département de la Justice américain, qu’il semblait s’y tramer des choses pas trop nettes. Je vais recopier plus bas ce que j’avais écrit dans les posts #4484, #4487 et #4500 car ça concerne tous ces joueurs.
Dans le post 4796, Q partage 4 images et un post twitter. Pris ensemble, l’histoire raconte que Audrey Strass, celle qui était derrière l’inculpation de Ghislaine Maxwell (dans l’affaire Jeffrey Epstein), quitte le SDNY. C’est le mari (Lucas Issacharoff) d’une des filles (Maureen) de James Comey qui va la remplacer. Maureen est elle aussi au SDNY et était la procureure en chef dans l’affaire Jeffrey Epstein. Q nous dit de suivre la famille et de les observer avec attention.
Dans le post 4797, on voit l’entête d’une opinion publiée le 16 janvier 2020. Voici quelques extraits:
=-=-=
LA FILLE DE JAMES COMEY A INSPECTÉ LES IMAGES DU SUICIDE D’EPSTEIN
La fille de l’ancien directeur du FBI James Comey est procureur dans l’affaire du pédophile Jeffrey Epstein, si vous vous souvenez bien, les images de sa cellule de prison ont récemment disparu.
Maurene Comey est procureur adjoint dans le district sud de New York, une coïncidence? Je ne le pensais pas!
Comment diable a-t-elle obtenu cette affaire? Après quelques années d’études de droit, elle obtient non seulement le poste de procureur mais aussi l’affaire la plus médiatisée trois ans plus tard? Son père, voilà comment!
Maurene a également donné de l’argent à la campagne d’Hillary Clinton et a défilé avec sa mère dans la Marche des femmes le lendemain de l’inauguration de Trump. Compte tenu des relations autour d’Epstein, comment ne pas parler de conflit d’intérêts?
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Ce à quoi l’opinion fait référence a été couvert par le journal britannique The Daily Mail (https://www.dailymail.co.uk/news/article-5622211/Comeys-wife-tells-devastated-Trumps-victory-friends-worked-Hillary.html), vous y verrez les photos du défilé.
Je vais y aller d’une opinion personnelle. Je crois qu’il y a tellement de yeux sur cette histoire, que tous les joueurs impliqués vont être très motivés à respecter les règles. Et c’est peut-être la raison pour laquelle Q nous demandait dans le post #4778 s’il était habituel qu’il y ait un an d’attente entre l’arrestation de Ghislaine Maxwell et son procès. Peut-être savait-il que des changements allaient se faire? Je n’en sais rien, je spécule. Je veux ajouter que Maureen Comey n’est pas son père, et que je ne lui assignerai pas de mauvaises intentions simplement parce que c’est la fille de l’ex-directeur du FBI qui risque la prison pour sa participation dans un coup d’état contre un président dûment élu.
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Voici les autres posts.
4484
Q !!Hs1Jq13jV6
20 Jun 2020 - 1:00:58 PM
twitter.com/TheJusticeDept/status/1274148764769452033
SDNY
Importance du contrôle du SDNY?
Compétences:
Collecte des preuves Weiner
Fondation Clinton
Collecte de preuves Epstein
Ukraine
(voir ci-dessus [pour l’instant])
[Regarder NYC]
twitter.com/SDNYnews/status/1274178732476059650
LA VIEILLE GARDE REFUSE DE SE RETIRER?
NOMINATION AU POSTE PAR LES JUGES DE SDNY [inhabituel] [retrait des « interims »]?
Les enjeux sont importants.
Ils vont se battre.
Super bowl > puppy bowl
Q
MON ANALYSE
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- Le propriétaire du champion du Super Bowl New England Patriots est accusé d’avoir sollicité la prostitution dans un spa en Floride.
- La vidéo de surveillance montre qu’il reçoit des services sexuels, d’après la police.
- Ce milliardaire de 77 ans fait partie de la vingtaine de personnes accusées d’une opération policière dans le cadre d’une enquête sur la traite des êtres humains, selon les autorités.
- M. Kraft est un ami du président Donald Trump qui, le mois dernier, a vanté les efforts de son gouvernement pour éradiquer la traite des personnes.
4487
no 4487
Q !!Hs1Jq13jV6
20 Jun 2020 - 15:44:07 PM
twitter.com/ABC/status/1274426525706866691
Q
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MON ANALYSE
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Ici j’analyse les posts #4485-#4486-#4487 mais vous devez d’abord lire #4484 (bit.ly/Qpost4484), parce que je continue à partir de celui-là. J’ai aussi remis les images du post #4485.
Dans son post précédent (#4484), Q a listé des dossiers importants qui relèvent de la juridiction du SDNY, ce qui laisse entendre que Berman couvre les crimes de personnes puissantes. Les enjeux sont élevés, donc on lui a probablement dit de résister à son remplacement par le procureur général Bill Barr.
Une affaire relevant de la juridiction du SNDY concerne les documents trouvés sur l’ordinateur d’Anthony Weiner (dont un répertoire appelé « Police d’assurance), ce congressiste de New York et mari d’Huma Abedin, l’aide politique d’Hillary Clinton, qui a servi 18 de 21 mois en prison pour avoir échangé des photos sexuelles avec une adolescente de 15 ans. Dans cet article de novembre 2016 (bit.ly/2VldVo3 ), Breitbart écrivait « Selon Erik Prince: la police de New York est prête à procéder à des arrestations dans l’affaire Anthony Weiner ».
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Le fondateur de Blackwater et ancien Navy SEAL, Erik Prince, a déclaré au Breitbart News Daily sur SiriusXM que, selon l’une de ses « sources bien placées » au sein du département de police de New York, « le NYPD voulait faire une conférence de presse pour annoncer les mandats et les arrestations supplémentaires qu’ils effectuaient » dans le cadre de l’enquête sur Anthony Weiner, mais a reçu « une énorme pression » de la part du département de la justice.
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Je rappelle que Erik Prince assure, après les Services Secrets américains et la NSA (renseignement militaire), la troisième couche de protection autour du président américain, qui est privée et ne répond à aucune agence gouvernementale. C’est ce qui l’isole complètement de l’état profond. L’erreur que John F. Kennedy a fait était de se fier (entre autre) à la CIA pour sa sécurité. On sait ce que ça a donné.
Q nous avertit depuis 2 ans que des arrestations liées au trafic sexuel vont sortir de New York (post #1368 concernant NXIVM, « Regardez NYC. »). Les dossiers de trafic sexuel sont sûrement plusieurs des affaires que Berman a probablement supervisé.En janvier 2018, Jeff Sessions a nommé Berman comme procureur américain par intérim pour un mandat de 6 mois. Trois mois plus tard, les juges du district sud de New York (en vertu de l’article 28 USC § 546(d)) l’ont nommé à l’unanimité procureur des États-Unis pour une durée indéterminée. Berman a publié une déclaration affirmant que parce qu’il avait été nommé par le tribunal du SDNY, il ne pouvait pas être révoqué par le procureur général.
Dans son post #1371, Q suggère que deux officiers de la police de New York ont été tués (187) après avoir consulté la « police d’assurance » sur l’ordinateur portable d’Anthony Weiner. Q nous rappelle que ceci n’est pas une partie de plaisir, que les menaces sont bien réelles. Le président Trump a mentionné dans un discours l’un des officiers de la police de New York, la détective Familia. Q nous le rappelle dans le post #1376.
Hier, dans le post #4484, Q écrivait « Super bowl > puppy show » (Super bowl > spectacle de chiots). Cela nous ramène au 20 février 2019. Un anon a noté que selon le journaliste de Just The News, John Solomon, le président ne serait pas inculpé dans l’enquête Mueller. Q a dit que nous le savions déjà et que c’était la raison pour laquelle Adam Schiff, le SDNY et Maxine Watters essayaient de prolonger l’enquête Mueller. Q a ajouté « Le Super Bowl ressemblera à un spectacle de chiots. », voulant dire que la réalité est bien pire qu’on peut le croire.
Deux jours plus tard, le 22 février, il a été annoncé (bit.ly/2Bq0bB5) que Robert Kraft, propriétaire des New England Patriots, champions du Super Bowl, avait été ramassé lors d’une opération contre la traite d’humains et de prostitution. Un anon soupçonnait Q de savoir, avant que l’histoire n’éclate, que Kraft était sous surveillance vidéo. Q a rappelé à anons sa référence au Super Bowl deux jours plus tôt, laissant entendre que les mots Super Bowl et Puppy avaient une double signification. Q a mis en ligne un lien vers la définition de « sex puppy » sur le site Urban Dictionary (bit.ly/sxpuppy): « Une personne très sexy qui ne fait rien d’autre de la journée que de suivre son maître de manière sexuelle, toujours prête pour les relations sexuelles (« toutou ») ».
DONC, le 19 juin, le DOJ a annoncé l’intention du Président de nommer Jay Clayton au poste de procureur des États-Unis pour le district sud de New York. Le problème est que le poste était déjà occupé par Geoffrey Berman (procureur par intérim des États-Unis). Lorsqu’il a appris qu’il était remplacé, Berman a refusé de quitter son poste.
Dans ce post (#4487), Q partage un tweet d’ABC News qui dit « Le procureur général William Barr répond à l’avocat du SDNY Geoffrey Berman : « Malheureusement, avec votre déclaration d’hier soir, vous avez choisi le spectacle public plutôt que le service public… J’ai demandé au Président de vous retirer à partir d’aujourd’hui, et il l’a fait ». »
Et attaché à ce tweet est la lettre publique que Barr a envoyé à Berman. Il dit aussi qu’il a nommé l’actuelle avocate fédérale adjointe du DOJ, Audrey Strass, au poste d’avocate des États-Unis par intérim jusqu’à ce que quelqu’un soit nommé de façon permanente à ce poste. Finalement, il dit que l’inspecteur général du DOJ, Michael Horowitz, enquêterait sur toute plainte concernant une interférence dans le processus de justice du SDNY.
Il existe un avis du Bureau des conseillers juridiques du DOJ qui affirme l’autorité du Président de révoquer les procureurs américains nommés par les tribunaux. Dans le post 4485, celui avec la photo du chiot, Q a dit que l’anon avait raison, le président peut renvoyer Berman.
Q a posté une capture d’écran d’un tweet du compte privé de Mike Pompeo montrant son chien sans laisse. Il y a aussi un post du 10 juin où Q demande si nous comprenons ce qui va être « relâché ». En fait, Q a utilisé le mot « unleashed ». Ce mot, en anglais, veut aussi dire « sans laisse ». Comme dans « un chien sans laisse ». En fait, l’image en question est celle de son chiot qui tient sa propre laisse, qui n’est pas contrôlé. Techniquement, dans un contexte où personne ne le tient par la laisse, il est libéré, relâché.
Le 18 juin, Mike Pompeo, le Secrétaire d’État, a publié (bit.ly/3dsRd3z) un tweet concernant John Bolton, lequel est accusé d’avoir révélé des informations classifiées dans un nouveau livre. Le tweet dit « Il est à la fois triste et dangereux que le dernier rôle public de John Bolton soit celui d’un traître qui a fait du tort à l’Amérique en violant sa confiance sacrée envers son peuple. À nos amis du monde entier: vous savez que l’Amérique du président @realDonaldTrump est une force pour le bien dans le monde. » Puis Pompeo a aussi tweeté la définition de « traître » (bit.ly/3fCsrPQ), comme Q l’a fait à plusieurs reprises.
Ce qui nous amène au post #4486. La CIA a refusé de divulguer la liste des noms du conseil consultatif de Pompeo pendant qu’il était directeur de la CIA, mais d’anciens responsables ont déclaré qu’ils comprenaient Marc Andreessen, Eric Cantor et William Barr (politi.co/2zPFvC3). Étant l’un des alliés les plus fiables du président, Pompeo a été nommé directeur de la CIA avant de passer au département d’État. Barr a été membre du conseil consultatif de la CIA. Lui et Pompeo ont probablement recueilli les informations nécessaires pour poursuivre les mauvais acteurs de la CIA en justice.
Q a conclu ce post en disant que Durham n’est pas le seul jeu en ville. Il y a beaucoup d’autres enquêtes en cours dont peu d’entre nous ont connaissance.
Et donc, Geoffrey Berman a été renvoyé par le président de son post d’avocat des États-Unis (bit.ly/3emM269), à la demande de Bill Barr, prenant effet immédiatement. Ça veut dire qu’ils passent à une nouvelle phase dans les enquêtes.>1416190 The stuff about the NYPD isn't just coming out. I'd heard about that during the campaign. But maybe the public wasn't ready for yet? No one wanted to believe it then. >>1416216 Trouvez les [2] détectives du NYPD [187] mi-2017. Ont-ils vu le dossier d'assurance? Les menaces sont réelles. Ce n'est pas un jeu.'"/>
4500
no 4500
Q !!Hs1Jq13jV6
23 Jun 2020 - 12:56:29 PM
www.youtube.com/watch?v=Ei6O14Td89g
Cela vaut la peine de l’écouter (lire).
Q
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MON ANALYSE
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J’ai traduit l’intro de la conférence partagée par Q. Je n’ai pas le temps de traduire 1h19 de conférence aujourd’hui mais si d’autres segments importants sont révélés dans des prochains posts, je les traduirai.
La conférence organisée par le NABU (qui est l’Unité Anti-Corruption Ukrainienne) révèle des informations concernant le quid pro quo de Joe Biden. Biden avait menacé de ne pas fournir 1 milliard de dollars à l’Ukraine si le procureur qui enquêtait sur les liens entre Burisma et son fils, Hunter Biden, n’était pas renvoyé d’ici la fin de la journée. Ce qui a été fait. Biden est sur vidéo, avouant et se vantant d’avoir accompli ce crime.
Tout ça pour dire que plus le temps passe, plus Joe Biden devient un candidat démocrate « problématique ». On dirait presque plus le temps passe, plus on s’approche de la convention nationale démocrate (où l’élection du nominé démocrate à se battre contre Trump pour la présidence sera sélectionné), plus Biden se fait attaquer. On dirait presque c’est le plan pour que Biden soit remplacé par quelqu’un d’autre…
Pour en savoir plus, utilisez le tag (la rubrique) « Ukraine » ici: bit.ly/QUkraine.
L’intro de la conférence:
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Notre conférence de presse est consacrée à ce sujet : »De nouveaux détails dans l’affaire de la corruption de Burisma, ainsi que de nouveaux enregistrements de conversations portant sur la corruption internationale et la gouvernance extérieure de l’Ukraine ».
Ce qui sera rendu public aujourd’hui :
Premièrement. Nous rendrons publics aujourd’hui les documents révélant de nouveaux détails dans une affaire très médiatisée concernant le pot-de-vin versé par les représentants de l’ancien ministre de l’écologie Zlochevsky et de sa compagnie de gaz Burisma ainsi que par la famille Biden.
Deuxièmement. Nous divulguerons les enregistrements de conversations téléphoniques entre des voix qui semblent être celles de Petro Porochenko et de Joseph Biden, témoignant des faits de corruption internationale et de trahison au plus haut niveau de l’État.
La troisième partie de la conférence sera consacrée à la présentation du colossal réseau de Demo-corruption opérant à la fois en Ukraine et à l’étranger. Ce réseau comprend des hauts fonctionnaires d’Ukraine et des États-Unis, des diplomates, des fonctionnaires et bien d’autres personnes impliquées dans le vol de milliards d’argent de citoyens ukrainiens et américains. Au cours de cette conférence de presse, d’un point de vue juridique, dans les côtés et les textes, je vous demande de comprendre les noms « Porochenko », « Biden », comme des personnes dont les voix semblent être celles des hauts fonctionnaires de l’Ukraine et des États-Unis agissant à ce moment.
Après une conférence de presse retentissante du commissaire Cattani de la NABU, qui a pris en flagrant délit les représentants de Burisma en train de tenter de donner un pot-de-vin de 6 millions pour clore une affaire concernant Zlochevsky, Burisma et Biden, des informations importantes ont été révélées.
Il est essentiel que les Ukrainiens, tout en applaudissant les courageux agents des forces de l’ordre, sachent que le montant du pot-de-vin, au sujet duquel les représentants de Burisma ont été pris en flagrant délit, n’était initialement pas du tout de 6 millions de dollars. Le montant du pot-de-vin était à l’origine de 50 millions de dollars. Encore une fois, pas 6 millions de dollars, mais 50 millions de dollars!
Nous allons maintenant dévoiler des documents confirmant le pot-de-vin de 50 millions de dollars pour clore l’affaire de Burisma et de la famille Biden.
Konstantin Kulyk, le chef d’un groupe de procureurs du bureau du procureur général qui a enquêté sur le vol de milliards de dollars de l’argent des contribuables ukrainiens et américains, en parlera en détail. C’est Kulyk qui a restitué 1,5 milliard de dollars au budget de l’Ukraine et qui a failli ramener 6 autres milliards de dollars volés par le groupe criminel organisé de Ianoukovitch en Ukraine. C’est son tour maintenant.
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4502
no 4502
Q !!Hs1Jq13jV6
23 Jun 2020 - 1:53:29 PM
https://justthenews.com/accountability/russia-and-ukraine-scandals/fired-prosecutor-was-given-biden-ukraine-allegations
Moment de la sortie de la vidéo [#4500] et fin de Berman?
Coïncidence?
« Vous ne pouvez pas attaquer votre adversaire politique. »
Les sceptiques seront bientôt des croyants.
Des années de préparation.
Q
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MON ANALYSE
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Je savais que je n’avais pas besoin de tout traduire le post 4500 (bit.ly/Qpost4500).
Allez d’abord lire les analyses des Qpost bit.ly/Qpost4484 & bit.ly/Qpost4487 pour comprendre le lien avec le procureur Berman.
Q nous dit que maintenant que Berman est renvoyé et n’a plus de pouvoir au sein du District-Sud de New York (SDNY) du Département de la Justice américain, des informations peuvent commencer à sortir, notamment en ce qui concerne #UkraineGate.
Il y a longtemps, Q nous disait que l’excuse « Il m’attaque parce que je suis son adversaire politique » allait être utilisée par un ou plusieurs candidats afin de repousser des accusations, qu’elles quelles soient. Mais plus le temps passe, plus de gens s’aperçoivent que ces crimes sont bien réels, et la corruption est exposée au grand jour.
Q termine avec « Des années de préparation. » Reste à savoir s’il parle de l’Opération « Q », ou des tentatives de l’état profond et des démocrates pour reprendre le contrôle, ou les deux, ou autre chose.
L’article de John Solomon partagé par Q:
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Le procureur new-yorkais licencié a été informé des allégations concernant Biden et l’Ukraine en 2018 mais n’a pas donné suite, comme le montrent les courriels.
Les procureurs ukrainiens ne voulaient pas du spectacle politique qui s’est transformé en mise en accusation et ont simplement cherché à remettre aux procureurs américains des preuves concernant Joe Biden et l’ingérence dans les élections, montrent les mémos.
Le scandale de la mise en accusation aurait-il pu être évité si le procureur américain Geoffrey Berman, aujourd’hui licencié, avait donné suite aux allégations ukrainiennes concernant Joe Biden et sa famille en 2018?
C’est la question intéressante soulevée par les courriels de l’automne 2018 entre un avocat américain et le procureur fédéral en chef de Manhattan, qui ont été obtenus par Just the News.
Les mémos montrent que, bien avant que les procureurs ukrainiens ne contactent Rudy Giuliani, l’avocat du président Trump, en 2019 pour parler des Biden (Joe et Hunter) et des allégations d’ingérence dans les élections de 2016, ils ont d’abord contacté le bureau de Berman à New York en octobre 2018 par l’intermédiaire d’un autre avocat américain.
Les mémos montrent que l’avocat Bud Cummins, lui-même ancien procureur américain, a contacté Berman au moins cinq fois en octobre 2018 pour organiser une rencontre avec le procureur général ukrainien de l’époque, Yuriy Lutsenko.
M. Lutsenko, qui est devenu une figure clé du scandale des mises en accusation, voulait partager confidentiellement avec les procureurs fédéraux de New York les preuves qu’il prétendait posséder et qui soulevaient des inquiétudes quant au comportement des Bidens ainsi qu’aux méfaits présumés dans l’affaire de corruption Paul Manafort.
« Le procureur général Yuriy Lutsenko propose de venir aux États-Unis pour rencontrer les hauts responsables de l’application de la loi afin de partager les fruits des enquêtes menées en Ukraine qui ont produit des preuves de deux crimes présumés », a écrit Cummins à Berman le 4 octobre 2018, un jour après que les deux hommes aient parlé au téléphone de ces allégations.
Selon ces allégations, Joe Biden aurait « exercé une influence pour protéger Burisma Holdings » après que son fils Hunter et le partenaire commercial de son fils Devon Archer aient rejoint le conseil d’administration de la compagnie de gaz ukrainienne et que « des sommes d’argent substantielles leur aient été versées », a écrit Cummins.
Au moment où Hunter Biden et Archer ont rejoint Burisma en 2014, la société faisait l’objet d’une enquête criminelle en Angleterre et en Ukraine pour corruption présumée. L’affaire britannique a été abandonnée en 2015, et les affaires ukrainiennes ont finalement été réglées dans les derniers jours de l’administration Obama.
Joe Biden s’est vanté lors d’une apparition publique en 2018 d’avoir forcé le licenciement du prédécesseur de Lutsenko, Viktor Shokin, en 2016, en menaçant de retenir un milliard de dollars d’aide américaine à l’Ukraine. A l’époque, Shokin dirigeait l’enquête sur Burisma. Biden nie que l’enquête ait été prise en compte dans sa décision.
La firme de Biden et Archer a reçu plus de 3 millions de dollars de paiements de Burisma entre 2014 et 2016, comme le montrent les relevés bancaires obtenus par le FBI.
Des documents récemment publiés par le Département d’État montrent également que Hunter Biden et Archer ont eu des contacts en 2015 et 2016 avec de hauts fonctionnaires de l’État, dont le secrétaire d’État John Kerry et le secrétaire d’État adjoint Tony Blinken.
En outre, les représentants américains de Burisma ont fait pression sur le Département d’État à Washington et l’ambassade des États-Unis à Kiev pour faire disparaître les allégations de corruption, comme le montrent les notes de service publiées dans le cadre du salon FOIA.
« L’allégation du procureur général Lutsenko et al est que l’ambassadeur américain, Marie L. Yovanovitch, Biden et Kerry ont tiré des conclusions sur les bons et les méchants au sein du gouvernement local. Ils pensent que Biden et Kerry ont été influencés par les paiements versés à Hunter Biden et Devon Archer pour influencer certaines décisions, en particulier celles qui profitent à Burisma », a écrit Cummins, relayant les allégations des responsables ukrainiens.
En outre, Cummins a dit à Berman que Lutsenko avait des preuves qu’un registre trouvé en Ukraine en 2016, alléguant montrer des paiements à Manafort d’un parti politique soutenu par la Russie en Ukraine, avait été falsifié et que les États-Unis savaient que les preuves étaient corrompues. L’apparition de ce registre a entraîné la démission de Manafort en tant que président de campagne de Trump en août 2016, et a finalement conduit à sa condamnation pour blanchiment d’argent et charges fiscales.
« La deuxième allégation ci-dessus est que l’ambassade et le FBI ont délibérément fait pression sur les fonctionnaires ukrainiens pour qu’ils falsifient les preuves à divulguer aux médias sur Manafort afin d’affecter le résultat de l’élection de 2016 », a écrit Cummins Berman.
Cummins a déclaré dans une interview qu’il avait eu un appel téléphonique et quatre contacts par e-mail avec Berman en octobre 2018 à propos de l’affaire ukrainienne, mais le bureau du procureur n’a jamais accepté l’offre de Lutsenko de venir à Washington pour présenter ses preuves.
« Je n’ai plus jamais entendu parler d’eux », a déclaré Cummins au sujet du bureau de Berman. « C’était l’occasion pour le ministère de la Justice d’aborder ces préoccupations en privé, et qui sait comment l’histoire aurait tourné si le SDNY avait simplement donné suite. »
Berman, au contraire, a fini par inculper deux associés de Giuliani pour financement de campagne et autres accusations après qu’ils aient essayé d’aider l’ancien maire de New York et l’avocat de Trump à faire connaître les préoccupations des procureurs ukrainiens. (L’un des associés inculpés, Lev Parnas, a travaillé comme traducteur et animateur d’entretiens pour ce journaliste sur une poignée d’interviews en Ukraine en 2019, mais les procureurs ne prétendent pas qu’il ait fait quelque chose de mal dans ce travail).
James Margolin, un porte-parole du bureau du procureur américain à New York, a décliné tout commentaire lundi lorsqu’il a été interrogé sur l’ouverture de Cummins en 2018.
Cummins a déclaré qu’il ne représentait pas Lutsenko comme son client, mais plutôt un citoyen ukrainien-américain qui essayait d’aider le procureur général à mettre des informations entre les mains des autorités américaines.
Le courriel de Cummins indique que Lutsenko voulait rencontrer Berman parce que le bureau du procureur américain à New York avait poursuivi avec succès Archer sur des accusations sans rapport avec l’affaire, plus tôt en 2018. La condamnation d’Archer a cependant été annulée par un juge, et le bureau de Berman n’a jamais rejugé l’affaire.
Les efforts de Cummins pour aider à organiser la rencontre ont été confirmés par l’un des adjoints de Lutsenko, Konstantin Kulyk, qui a déclaré l’année dernière que les autorités ukrainiennes avaient essayé à plusieurs reprises de transmettre au ministère américain de la justice des preuves sur d’éventuels méfaits des Américains, mais que ces tentatives avaient été contrecarrées.
Lutsenko a déclaré dans une interview l’année dernière que lorsque les efforts de Cummins n’ont pas réussi à obtenir une audience avec le Département de la Justice, il a contacté Giuliani, espérant trouver un autre canal pour obtenir une enquête sur les informations.
Ce sont ces contacts qui ont fini par stimuler toute l’enquête de mise en accusation, qui s’est terminée en janvier par l’acquittement de Trump par le Sénat.
Les démocrates ont tenté de présenter les activités de Giuliani comme un effort pour déterrer des informations sur le rival de Trump en 2020, et pour amener les responsables ukrainiens à lancer une enquête sur Biden.
Mais les courriels de Cummins indiquent clairement que les autorités ukrainiennes n’étaient pas intéressées à enquêter sur les Bidens pour violation de la loi ukrainienne. Elles voulaient plutôt fournir confidentiellement des preuves de possibles violations du droit américain afin que les autorités américaines puissent enquêter. Et ils n’avaient aucun intérêt à impliquer initialement la Maison Blanche Trump. Au contraire, ils voulaient simplement partager les preuves avec les autorités américaines au niveau des procureurs.
Les courriels de Cummins à Berman indiquent clairement que Lutsenko ne faisait pas confiance à l’ambassade américaine à Kiev ou au FBI pour examiner les documents, craignant qu’ils ne soient trop politiques.
« Lutsenko est confronté à des obstacles politiques pour obtenir un visa pour venir ici. On pense que l’ambassade à Kiev a bloqué son obtention de visa dans le passé. Il pense que c’est parce que l’ambassadeur américain connaît la nature de son enquête et veut l’empêcher de venir et de la partager », a écrit M. Cummins à M. Berman le 4 octobre 2018.
Cinq jours plus tard, Cummins a écrit que Lutsenko était prêt à fournir des preuves sérieuses, notamment des copies de deux livres de comptes dans l’affaire Manafort que les procureurs ukrainiens croyaient falsifiés
« On peut supposer qu’il sera prêt à discuter des témoignages oculaires qui, selon lui, corroboreront à la fois cette histoire et les différentes allégations de corruption », a écrit M. Cummins.
Lorsque Berman a cessé de répondre, Cummins a proposé à Lutsenko de rencontrer un procureur fédéral de rang inférieur, simplement pour transférer les preuves. « Peut-être pouvez-vous fournir au moins un procureur et un agent de confiance pour rencontrer quelques uns des enquêteurs et les laisser prendre les informations comme ils le feraient si un citoyen passait la porte avec des informations à partager », a écrit Cummins le 18 octobre 2018.
Il n’y a jamais eu d’autre réponse, a déclaré M. Cummins.
Les responsables ukrainiens ont déclaré qu’ils ne pensaient pas que les Bidens avaient enfreint la loi ukrainienne mais qu’ils pouvaient s’être engagés dans des conflits d’intérêts interdits par la loi américaine. Les inquiétudes concernant les conflits d’intérêts des Bidens ont été confirmées par les responsables américains également.
Lors du témoignage de mise en accusation l’automne dernier, Mme Yovanovitch et son adjoint à l’ambassade de Kiev, George Kent, ont tous deux déclaré que le rôle de Hunter Biden en Birmanie, alors que son père supervisait la politique américano-ukrainienne, avait créé « l’apparence d’un conflit d’intérêts ». Kent a déclaré qu’il avait même essayé de faire part de ses préoccupations au bureau du vice-président de Biden, mais qu’il avait été repoussé.
Tous les fonctionnaires fédéraux sont tenus par les lois fédérales sur l’éthique d’éviter de prendre des mesures qui créent l’apparence d’un conflit d’intérêts.
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