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Q4815-4816

no 4815
06-Oct-2020 8:44:24 PM EDT
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twitter.com/realDonaldTrump/status/1313640512025513984
OCTOBRE ROUGE.
Q

no 4816
06-Oct-2020 9:23:44 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
Pensez au message d’aujourd’hui concernant le Sen Johnson au sujet des rédactions sur les documents [GSA contre FBI].
« Voyons ce qui se passe. »
Pensez POTUS aujourd’hui « Pas de censure! »
Vous voyez ce qui s’est passé?
Q

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MON ANALYSE
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Ce post fait suite au message 4807-4809-4810. et au post 4815 (plus haut). Je vous invite à les lire au besoin.

Q, avec ses références au film ‘À la poursuite d’Octobre Rouge’ et aux citations du film, nous avait prévenu à sa façon qu’Octobre allait être un mois chaud, avec des coups tirés et des munitions dépensées.

Plus tôt dans la journée d’hier, Q partageait des messages de républicains qui se plaignaient qu’ils n’avaient pas toute l’information qu’ils voulaient, et ce, depuis 2017. Q a dit « Voyons ce qui se passe » et un peu plus tard, Trump annonce la complète déclassification de toute l’information en lien avec la fausse histoire de collusion avec la Russie et sur l’histoire autour du serveur de courriels privés d’Hillary Clinton. On dirait presque que « Q » savait ce qui allait se passer, comme s’il travaillait près de Trump… ;p

Ceci est en lien avec Spygate, que je recommande.

Voici un article intéressant à ce sujet, je vous invite de bien le comprendre pour ce qui s’en vient.

 

Le sale tour de Clinton hante les démocrates avant l’élection.

Par Brian Cates - 7 octobre 2020

Lorsque toute l’étendue de l’enquête du procureur américain John Durham sur les origines du canular RussiaGate sera enfin révélée, son ampleur va choquer les gens.

Le scandale du Watergate du début des années 1970 a impliqué une petite équipe d’opérateurs malhonnêtes, surnommés « les plombiers », qui ont été recrutés dans le sous-sol de la Maison Blanche et qui ont mis au point un plan farfelu pour mettre sur écoute les téléphones du siège du Comité national démocratique à l’hôtel Watergate.

Après que l’équipe ait échoué dans le cambriolage et ait été arrêtée, le président Richard Nixon a tenté de contenir le scandale en utilisant la CIA pour bloquer l’enquête du FBI sur le cambriolage. Le camouflage du Watergate n’a même pas duré 30 jours, et il a finalement conduit le président Nixon à démissionner en disgrâce.

Aussi grave que soit le scandale du Watergate, la petite équipe de plombiers n’avait aucune habilitation officielle ni aucun pouvoir pour le sale boulot qu’elle faisait pour la campagne de Nixon lors des élections de 1972. Ironiquement, il n’y a pas eu besoin d’une quelconque escroquerie, car Nixon a facilement battu son challenger démocrate George McGovern dans un raz de marée historique.

La véritable portée de SpyGate

Le scandale SpyGate est bien différent. Alors que beaucoup d’efforts ont été déployés pour dissimuler l’équipe d’escrocs de Fusion GPS en faisant passer l’argent par le cabinet d’avocats Perkins Coie, cette fois-ci, les personnes impliquées étaient parmi les plus puissantes du gouvernement fédéral qui utilisaient les pleins pouvoirs des agences fédérales de maintien de l’ordre et de renseignement.

Le champ d’implication de SpyGate s’étend de la Maison Blanche de Barack Obama/Biden au ministère de la Justice de Eric Holder/Loretta Lynch, au FBI de James Comey, en passant par le département d’État de Hillary Clinton/John Kerry, à la CIA de John Brennan et même aux anciens et actuels responsables des services de renseignement de gouvernements étrangers.

Il n’y a jamais rien eu de tel. Et, si la déclassification des mémos et des notes rédigés par Brennan est une indication, nous n’avons encore rien vu.

Durham dirige une équipe de procureurs d’exception

Le scandale actuel est si important que M. Durham supervise une équipe de procureurs américains chargés de l’enquête. Les noms et les rôles de certains des membres de cette équipe ont été rendus publics et certains ne l’ont pas été.

Depuis un certain temps déjà, nous connaissions les noms des procureurs américains Jeffrey Jensen et John Bash. Jensen s’occupe de l’examen de l’affaire Flynn par le DOJ et Bash enquête sur le démasquage de Flynn et très probablement d’autres membres de l’équipe de transition Trump.

Le démasquage est une branche de SpyGate à part entière.

Il convient de rappeler que le député Devin Nunes a déclaré lors d’une conférence de presse en mars 2017 qu’on lui a montré des interceptions de renseignements qui ont démontré que les communications privées des membres de l’équipe de transition Trump avaient été interceptées et démasquées.

Non seulement le général Flynn faisait partie de l’équipe de transition Trump, mais aussi Nunes lui-même. Il y avait aussi Donald Trump Jr, Mike Pence, Jared Kushner, Jeff Sessions, Mike Pompeo et bien d’autres.

Nunes a déclaré très clairement dans les interceptions de renseignements non masquées qu’il a vues, qu’aucun des membres de l’équipe de transition ne discutait de politique étrangère ou de quoi que ce soit en rapport avec la Russie. Cela implique directement que les pouvoirs de surveillance des agences gouvernementales ont été utilisés par les responsables d’Obama pendant la transition pour espionner l’équipe Trump.

Cela constituerait une violation incroyablement grave des normes historiques concernant le transfert pacifique et légal des pouvoirs entre les administrations présidentielles sortante et entrante.

Sur quoi Huber enquêtait-il réellement ?

Ce n’est que récemment qu’il est apparu que le procureur américain John Huber de l’Utah avait réussi à transmettre à Durham les résultats de sa propre plongée dans la Fondation Clinton et la campagne présidentielle de 2016. On suppose que Huber s’est limité à enquêter sur les finances de la Fondation Clinton pendant l’année et demie où il a enquêté.

Je n’en serais pas si sûr.

Il se pourrait très bien que Huber se soit également engagé à examiner de près la campagne de Clinton/DNC/Perkins Coie/Fusion GPS, branche de cet énorme scandale plein de ramifications. Et ils ont gardé le silence sur ce sujet! Imaginez si le DOJ avait révélé en 2018 que Huber faisait un plongeon dans la *campagne Clinton* ainsi que dans la Fondation Clinton?

Il était largement admis que l’enquête de Huber sur les Clinton était une farce, un spectacle secondaire inutile, peut-être même une dissimulation corrompue. L’histoire se serait déroulée sans rien apporter vraiment, Huber aurait mis fin à son enquête après n’avoir rien trouvé. L’histoire du Washington Post sur laquelle toutes ces affirmations étaient basées s’est appuyée - surprise! - sur des témoignages de fonctionnaires anonymes connaissant bien l’affaire.

Le DOJ *lui même* n’a jamais fait de déclaration officielle d’après ce que je peux déterminer. Lorsque le bureau de M. Huber a été invité à faire des commentaires au moment où cette histoire a été publiée en janvier 2020, ils ont été transmis au DOJ. Personne n’a fait de commentaires sur le dossier pour confirmer que l’enquête de Huber était effectivement terminée.

Ainsi, l’énorme histoire qui a fait sensation en janvier était entièrement basée sur des sources officieuses ayant fait l’objet d’une fuite anonyme vers le Washington Post. C’est pourquoi je ne lui ai jamais fait confiance. Le fait est que le DOJ ne révèle ce que ses enquêteurs font et ce qu’ils ont trouvé que lorsqu’ils sont fin prêts et pas une minute avant. Le fait que les médias aient recours à des sources anonymes qui divulguent les narratifs que les médias veulent publier n’est pas nouveau.

N’avons-nous pas vu cela se produire pendant l’enquête Mueller? Ne vous souvenez-vous pas de la pléthore d’articles de presse publiés par des « fonctionnaires anonymes connaissant bien la question », qui racontaient aux journalistes des histoires à dormir debout sur des montagnes de preuves de la collusion entre Trump et la Russie que Mueller était censé avoir trouvées? Sur la façon dont le général Flynn, Paul Manafort, Carter Page et d’autres avaient prétendument retourné Trump et chantaient maintenant comme des canaris pour Mueller? Je sais que je m’en rappelle. Et je ne l’ai pas oublié. Les mouchards anonymes ne m’ont pas trompé à l’époque et ils ne me trompent pas maintenant.

Les professionnels silencieux ne parlent pas à la presse et ne se précipitent pas.

Il s’est écoulé plus de deux mois entre le moment où le procureur général William Barr a chargé M. Jensen d’enquêter sur l’affaire Flynn [janvier 2020] et celui où il a révélé publiquement qu’il l’avait fait [mars 2020]. C’est inhabituel, le peu de temps qu’il a fallu. La plupart des enquêtes sensibles du DOJ en matière de sécurité nationale prennent beaucoup plus de temps.

Le temps écoulé entre le début de l’enquête de M. Durham sur les campagnes de fuite de SpyGate au sein des agences fédérales sous l’égide de l’ancien procureur général Jeff Sessions [avril 2017] et le jour où l’actuel procureur général Barr a révélé publiquement son rôle dans la direction d’une équipe de procureurs américains enquêtant sur SpyGate [mai 2019] est d’un peu plus de trois ans.

Donc, lorsqu’il s’agit de savoir ce que John Huber a fait ou n’a pas fait au cours des trois dernières années, vous devriez garder cela à l’esprit.

Le canular RussiaGate est maintenant pleinement exposé.

Le canular de RussiaGate est un scandale aux multiples facettes où de fausses preuves ont été créées grâce au financement de la campagne d’Hillary Clinton et du DNC pour placer la campagne Trump sous suspicion de trahison. C’est là que l’équipe de la campagne Clinton et du DNC chargée des coups bas chez Fusion GPS a travaillé d’arrache-pied, avec des personnes comme Christopher Steele, Igor Danchenko et Glenn Simpson jouant des rôles clés.

L’étape suivante consistait à mettre ces fausses preuves entre les mains de fonctionnaires complices qui pouvaient y trouver un moyen d’enquêter sur ces allégations. Ces fonctionnaires corrompus y sont parvenus en divulguant à plusieurs reprises les fausses preuves aux médias.

De telles fuites ont créé une pression publique pour que les mêmes fonctionnaires gouvernementaux à l’origine de ces fuites se mettent à enquêter sur les cibles désignées comme « Trump ». J’ai qualifié cette pratique corrompue et circulaire de « fuite stratégique ».

Les fausses preuves allaient du tristement célèbre dossier Steele à la fausse déclaration selon laquelle un serveur de la tour Trump était connecté à un serveur de la banque russe Alfa à Moscou.

Après avoir divulgué les fausses preuves de la campagne Clinton aux médias eux-mêmes, ces agents corrompus des services de police et de renseignement pouvaient alors prétendre qu’ils ne faisaient qu’enquêter à cause de ces importantes histoires médiatiques qu’ils avaient eux-mêmes mises en place.

Une petite complication se présente !

Et alors que le directeur du FBI de l’époque, James Comey, l’ancien directeur de la CIA, John Brennan, l’agent du FBI, Peter Strzok, et d’autres étaient engagés dans cette activité de fuite stratégique basée sur le dossier Steele, ils reçoivent soudainement une référence de la communauté du renseignement qui contient des informations provenant d’une source russe. Cette source affirme que la campagne Clinton mène une opération de coups bas qui vise la campagne Trump avec un faux scandale de collusion russe.

(La seule chose qui pimenterait encore plus la divulgation de cette opération serait que la source russe soit… Danchenko lui-même!]

Après avoir pris des mesures méticuleuses pour cacher les signes qu’ils avaient conscience que la « preuve » de collusion Trump/Russie qu’ils utilisaient pour poursuivre la campagne de Trump provenait de l’équipe malfaisante de Clinton/DNC de Fusion GPS, ces fonctionnaires corrompus n’eurent pas d’autre choix de que reconnaître ce qui leur est parvenu par les canaux officiels des services de renseignement.

Alors que Comey a récemment témoigné devant la commission judiciaire du Sénat qu’il n’était pas au courant d’une telle remontée d’information au sujet de la campagne Clinton par la communauté du renseignement en septembre 2016, Brennan est enregistré comme ayant informé le président Obama de cette information Clinton/Russie en juillet 2016.

Ces comptes rendus existent, les notes manuscrites de Brennan existent, et le directeur actuel du renseignement national [ODNI], John Ratcliffe, les possède.

Oops !

Résoudre un problème avec un peu de classification.

Fin 2016, ce que les comploteurs de SpyGate ont fait pour contourner l’énorme problème de la remontée d’infos de la communauté du renseignement concernant la campagne Clinton est qu’ils ont simplement *classifié* toutes ces informations accablantes pour les dissimuler, les oublier.

Puis ils ont continué leur joyeuse course pour faire dérailler la campagne Trump en utilisant les fausses preuves de Clinton, et ayant échoué, ils ont tenté d’annuler la présidence de Trump.

Comme l’a déclaré l’ancien directeur du renseignement national Richard Grenell, l’utilisation de la classification pour cacher des preuves à décharge est une tactique favorite des fonctionnaires corrompus impliqués dans SpyGate.

Grenell lui-même a contribué à révéler plus de deux ans de mensonges au sujet de Russiagate, tels que le député Adam Schiff [Démocrate de Californie] et le sénateur Mark Warner [Démocrate de Virginie], lorsqu’il a déclassifié plus de 50 transcriptions de témoignages de participants et de cibles clés de SpyGate.

Une fois que les gens ont pu lire par eux-mêmes les transcriptions déclassifiées, il est rapidement devenu évident que les déclarations extravagantes faites dans les médias par d’éminents démocrates du Congrès sur l’existence supposée de preuves solides et vérifiées de collusion entre Trump et la Russie étaient des mensonges délibérés.

Avec cette dernière déclassification, le directeur du renseignement national Ratcliff a mis à nu tout le canular de RussiaGate.

C’est la preuve documentaire directe qu’au moment même où ils poursuivaient avidement l’équipe Trump sur la base des informations du faux dossier Steele, tous ces gens du Département de Justice et du FBI savaient que cette fausse preuve provenait directement du camp Clinton.

Le complexe médiatique du Comité National Démocrate tente bien entendu de minimiser cette énorme bombe en faisant les gros titres sur la « désinformation russe non vérifiée ». Remarquez bien que ce sont les mêmes médias « d’information » qui essaient encore d’agiter les derniers semblants de vie de l’histoire des « primes russes pour la tête des soldats US ».

Plus le temps passe et plus les preuves sont déclassifiées, plus il est absurde de tenter d’atténuer l’impact politique de ce qui a été révélé.

Ils ne peuvent pas arrêter ce qui arrive. Comme le président Trump lui-même aime le rappeler aux gens, « Nous avons tout », « Nous les avons attrapés ! » et « Voyons ce qui se passe ! » avec un sourire digne du chat de Cheshire (chat du roman « Alice au Pays des Merveilles »).

Les Déclassifications révèlent maintenant les enquêtes des professionnels silencieux.

Depuis plus de trois ans maintenant, j’ai déclaré que de sérieuses enquêtes fédérales clandestines étaient en cours sur ce qui constitue les violations les plus explosives de la sécurité nationale. Il s’agissait d’une tentative de coup d’État contre un président dûment élu. C’est à peu près le plus haut niveau que l’on puisse atteindre sur l’échelle de la sécurité nationale.

Le Département de la Justice (DOJ) n’a divulgué publiquement que très peu de choses et, dans de nombreux cas, *rien* sur les enquêtes fédérales en cours concernant cette tentative, désormais très médiatisée, de fonctionnaires fédéraux de renverser un président en exercice.

Ce manque de transparence de la part du DOJ a conduit de nombreux commentateurs des médias à croire qu’il ne se passait rien, et loin d’envisager des « professionnels silencieux » chargés des enquêtes les plus sérieuses jamais entreprises par le DOJ, en lieu et place de corrompus et de lâches qui couvriraient tout.

Les informations de Durham n’ont pas fuité en plus de trois ans.

Grâce à Sidney Powell et au dernier dépôt de dossier de l’équipe de défense dans l’affaire du lieutenant général Michael Flynn, John Durham et les personnes travaillant sous ses ordres sont maintenant révélés publiquement comme étant exactement ce que je prétendais qu’ils étaient: des professionnels silencieux se sont lancés dans une grande chasse aux fuites qui les a menés tout droit à la plus grande affaire de sécurité nationale de tous les temps.

Des captures d’écran de SMS récemment divulgués entre Peter Strzok et Lisa Page, anciens membres du FBI, montrent qu’ils discutent de la façon dont le procureur général de l’époque, Jeff Sessions, a attribué à Durham une affaire de fuite en avril et qu’en mai, ils échangent des messages pour tenter de reporter les entretiens avec Durham.

Dès la première mention de Durham, Strzok et Page s’inquiètent du fait que l’affaire de la fuite n’allait pas être traitée « en interne » par la Division de la sécurité nationale (NSD) du FBI, mais qu’elle a été confiée à Durham, un procureur extérieur.

Dans la deuxième mention de Durham, à partir de mai 2017, Strzok et Page appréhendent les prochains entretiens, discutant de l’intention de continuer à repousser la rencontre avec l’enquêteur.

Oui, le premier lot de SMS Strzok/Page a été divulgué en décembre 2017. Le DOJ avait en sa possession depuis plus de 3 ans des messages que Strzok et Page ont échangés au sujet de John Durham qui leur soufflait dans le cou en mai 2017.

Et il n’y a pas eu de fuite jusqu’à ce que le DOJ soit prêt à divulguer ces informations lui-même en demandant au procureur américain Jensen de donner des copies de ces SMS à Sidney Powell dans le cadre d’un dossier dans l’affaire Flynn.

Ces enquêtes sont entre de bonnes mains, elles l’ont toujours été.

Alors que certains ont utilisé l’absence de fuites ou de mises à jour sur les enquêtes pour vendre des narratifs fumeux de dissimulations massives et de corruption dans lesquels l’État profond contrôle toujours fermement le DOJ, j’ai toujours affirmé le contraire.

Des professionnels silencieux menaient les enquêtes criminelles les plus sérieuses et les plus importantes de l’histoire des États-Unis. Jeff Sessions et William Barr n’ont pas confié les enquêtes de sécurité nationale les plus importantes à des mouchards ou à des perdants.

Et vous pouvez me citer à ce sujet.

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Brian Cates est entré dans l’arène politique en mars 2012, à la suite du décès d’Andrew Breitbart. Il est actuellement chroniqueur politique pour The Epoch Times et UncoverDC. Brian est basé dans le sud du Texas et est l’auteur de : « Personne ne m’a demandé mon avis … mais le voici quand même ! »

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