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Q4709-10-11-12-13-14

Q a posté 4 messages avec un seul nom dans chacun; Julian Assange, Seth Rich, John Brennan (l’ex-directeur de la CIA sous Obama) et « Guccifer 2.0 », un supposé pirate informatique qui prétend être le hacker qui a obtenu un accès non autorisé au réseau informatique du Comité national démocratique et qui a ensuite divulgué ses documents aux médias, au site web WikiLeaks et à une conférence.

no 4709
14-Sep-2020 9:35:44 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
Julian Assange
Q

no 4710
14-Sep-2020 9:35:55 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
Seth Rich
Q

no 4711
14-Sep-2020 9:36:12 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
John Brennan
Q

4712
14-Sep-2020 9:36:24 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
Guccifer 2.0
Q

 

Je prends ces quatres noms (et posts) comme étant un seul car ces individus sont grandement liés les uns aux autres.

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MON ANALYSE
============

Pour comprendre ça, il faut revoir le post 4016.

no 4016
Q !!Hs1Jq13jV6
30 Apr 2020 - 17:04:19 PM
Le DNC a-t-il été piraté par la Russie?
FORCÉ PAR [BRENNAN] À LA CIA?
Seth Rich: téléchargement interne donné en main propre à l’intérieur des États-Unis?
Insertion de code par Crowdstrike?
Si le FBI [CHAINE DE COMMANDEMENT] était corrompu, quelles autres enquêtes l’étaient aussi?
QUI ONT-ILS COUVERT?
JUSQU’OÙ CELA REMONTE-T-IL?
Q

Dans ce post, Q demandait qui a été protégé et jusqu’à où ça remonte. Jusqu’où remonte la corruption de la CIA et du FBI? Pour ça, il faut se demander qui avait plus à perdre. Faisons un retour dans le passé.

Dans son post #436 du 22 décembre 2017, Q nous écrivait ceci:
=-=-=
[DNC PIRATAGE / DOSSIER]
[DNC]
[SR]>
[WL]>
HUSSEIN>
DNI DIR>
CLOWN DIR>
CLAS: 1-12>
GOOG>
CROWDSTRIKE>
DNC>
(SR 187)(MS13 (2) 187)>
DWS_DIR>
=-=-=
Si on fait une histoire de tout ça: « Le piratage du DNC a été fait par Seth Rich, qui a donné les courriels en personne à un entremetteur, qui lui les a donné à Wikileaks. Obama en a entendu parlé, l’ordre a été donné à James Clapper (directeur du renseignement national) d’enquêter, John Brennan (directeur de la CIA, les « clowns » comme Q les appelle) a été impliqué. Il y a des informations classifiées encore, comme par exemple qui d’autre s’en est mêlé. Google a été impliqué, possiblement la haute direction. Les courriels sont publiés par Wikileaks. Crowdstrike, la firme privée « annonce » que les « russes » avaient piratés le DNC. Seth Rich est retrouvé assassiné dans les rues de Washington D.C. Deux jours plus tard, deux membres du gang criminel mexicain MS-13 sont assassinés aussi. Leur mort serait attribuable à un ordre donné par Debbie Wasserman Schultz, membre du congrès depuis 14 ans et ex-présidente du Congrès National Démocrate (DNC). Il y a probablement plus de gens impliqués, mais c’est ce que je sais pour l’instant.

Bon, alors voici les commentaires de #3972 & #3990 mis ensemble.

=-=-=

Post 3972:

Q nous partage le lien d’une entrevue d’Obama (j’ai recopiée l’entrevue à la fin de ce post, plus bas) par NPR (National Public Radio) datant du 19 décembre 2016 (la date est importante). À ce moment, Trump est déjà élu, sa campagne est en transition. Dans le segment pointé par Q (à partir de 15m40s), Obama répond à une question concernant l’implication de la Russie dans la campagne présidentielle. Vous pourrez lire plus bas, mais gardez en tête, pendant que vous la lisez, les éléments suivants que nous savons maintenant, ou que nous pouvons présumer, basé sur les documents rendus publics.

- En juin et juillet 2016, Wikileaks publie 19’252 courriels et 8’034 fichiers attachés du Democratic National Committee. Ils révèlent que Hillary Clinton, Donna Brazile et la membre du congrès Debbie Wasserman Schultz ont conspiré pour voler la nomination présidentielle démocrate à Bernie Sanders.

- Le DNC ne fait pas intervenir le FBI mais plutôt Crowdstrike, une firme informatique privée de Washington qui prétend, après analyse, que ce sont les russes qui sont derrière le piratage.

- Crowdstrike a déterminé que le piratage avait été fait à distance, via Internet.

- Julian Assange a dit qu’ils ont reçu une clé USB d’un lanceur d’alerte du DNC, remise à un intermédiaire (Kim Dot Com) qui l’a remise à Wikileaks.

- Les registres indiquaient une vitesse de transfert des données plus élevée que la connexion Internet du DNC, donc un piratage à distance était impossible.

Je me permet de m’interrompre dans mon propre passé rédactionnel pour y ajouter les posts 3764, 3766 et 3771 dans lequel je disais:

no 3764
Q !!Hs1Jq13jV6
28 déc 2019 - 13:23:27
Serveur(s) DNC.
Crowdstrike.
La Russie est-elle entré par effraction dans le(s) serveur(s) du DNC?
Pourquoi le FBI a-t-il accepté des preuves ‘indirectes’ de Crowdstrike [Ukraine] concernant le ‘piratage’ / ‘l’introduction par effraction’ des serveur(s) du DNC?
Pourquoi le FBI n’a-t-il pas enquêté « directement » sur le(s) serveur(s) DNC [en main]?
Vitesse de téléchargement des données internes contre données distantes? [1]
https://www.realclearpolitics.com/video/2017/01/02/assange_to_hannity_our_source_was_not_the_russian_government.html
[1]
Comment fournir du contenu à WL (Wikileaks)?
>ordinateur-à-ordinateur
>de personne à personne [1].
Communications personnelles [sécurisées] avant la diffusion publique? [1]
La/les (Source(s)) :
>Fournisseur [1]
> Destinataire [1].
Un internat au DNC peut être mortel.
Crowdstrike possède-t-il une capacité gouvernementale pour tracer les routes d’effraction?
Crowdstrike possède-t-il la capacité gouvernementale pour les interceptions étrangères?
Il est possible de superposer/insérer du code [Crowdstrike] pour désigner un intrus [cible visée]?
NSA pont_de_données DNC-Crowdstrike [collecte de données en masse].
Questions de sécurité nationale [Niveaux les plus élevés].
FISA n’est que le début.
Le trou est PROFOND.
Q

 

no 3766
Q !Hs1Jq13jV6
28 déc. 2019 - 13 h 30 min 29 s
========================
Anonyme
28 déc. 2019 - 13:28:43 PM

Capture d’écran 2019-12-28 à 19.28.12.png

»7643842
…les premières conclusions décisives de l’expert, rendues publiques dans le document du 9 juillet, concernaient le volume du matériel supposé piraté et ce que l’on appelle le taux de transfert, c’est-à-dire le temps nécessaire à un piratage à distance. Les métadonnées ont établi plusieurs faits à cet égard avec une précision granulaire : Dans la soirée du 5 juillet 2016, 1’976 mégaoctets de données ont été téléchargés du serveur de la DNC. L’opération a duré 87 secondes. Cela donne un taux de transfert de 22,7 mégaoctets par seconde.

Ces statistiques sont des données de registres et essentielles pour réfuter la théorie du piratage. Aucun fournisseur de services Internet, tel qu’un pirate informatique aurait dû utiliser au milieu de l’année 2016, n’était capable de télécharger des données à cette vitesse. Pour aggraver cette contradiction, Guccifer a prétendu avoir exécuté son hack depuis la Roumanie, ce qui, pour de nombreuses raisons techniquement appelées « delivery overheads », ralentirait encore plus la vitesse d’un piratage par rapport aux vitesses maximales réalisables.

thenation.com/article/a-new-report-raises-big-questions-about-last-years-dnc-hack/
=======================================
»7643939

 

no 3771
Q !!Hs1Jq13jV6
29 déc. 2019 - 12:21:48
twitter.com/AnonMonkeyMan1/status/1211325750713954305
Vous croyez aux coïncidences?
La vérité sera dite.
Q

Q nous dit que la vérité sera rendue publique concernant le meurtre de Seth Rich (pour avoir divulgué les courriels du DNC à Wikileaks). Lou Dobbs en a parlé à son émission sur le réseau FOX News.

Traduction de la vidéo:
=-=-=
… l’employé du DNC, Seth Rich, qui a été assassiné l’été dernier. Un enquêteur fédéral a déclaré à FOX News qu’un rapport médico-légal de l’ordinateur de Rich montrait qu’il avait pris contact avec Wikileaks par l’intermédiaire d’un ancien journaliste et directeur de Wikileaks basé à Londres, Gavin McFaden. L’enquêteur a déclaré à FOX News que Rich avait fourni à McFaden plus de 44’000 e-mails et près de 18’000 pièces jointes. Rich a été assassiné près de son domicile à Washington le matin du 10 juillet, mais son portefeuille, son téléphone portable et sa montre n’ont pas été volés. Wikileaks, 12 jours plus tard, a publié des emails internes montrant des hauts fonctionnaires du DNC échangeant des idées sur la façon de porter atteinte au sénateur Bernie Sanders lors des élections, et ces emails ont entraîné la démission de Debbie Wasserman Schultz, qui était la présidente du DNC, et des trois hauts dirigeants du DNC, en raison de la conclusion évidente trahie dans ces emails entre le DNC, et …
=-=-=

(Le tweet n’est plus disponible car le compte a été suspendu par Twitter.)

Continuons…

- Seth Rich était un employé du DNC. Il travaillait sur les serveurs informatiques et avait accès aux courriels.

- Seth Rich est assassiné le 10 juillet 2016 dans les rues de Washington.

- Julian Assange a affirmé deux fois qu’aucun acteur étatique était derrière ça, puis parle qu’ils ont une bourse pour toute information menant à l’arrestation des assassins de Seth Rich.

- La campagne d’Hillary Clinton accuse « les russes » d’aider Trump.

- Sous prétexte que Trump et la Russie collaborent ensemble, et en utilisant Carter Page (un employé qui a déjà travaillé avec le FBI pour faire tomber des criminels russes) qui un conseiller externe de la campagne présidentielle de Trump, le FBI tente d’obtenir en juillet 2016 un mandat FISA pour espionner ses communications électroniques, et par extension, la campagne présidentielle. Il n’y a pas de cause suffisante, le mandat est refusé.

- Pendant ce temps, en secret, John Brennan, le directeur de la CIA, monte une opération de salissage contre Trump en utilisant les services secrets de d’autres pays comme l’Angleterre, l’Australie, l’Italie et la Nouvelle-Zélande via (entre autre) le réseau des Five Eyes (Cinq Yeux). Il est probable que le gouvernement et les services de renseignements du Canada aient été impliqués aussi. Brennan fait affaires avec Christopher Steele, un ex-employé des services secrets britanniques. On apprendra par la suite (mars-avril 2020) que Steele (et Brennan, par extension) a probablement été victime d’un coup monté par les services secrets russes (voir ma conclusion plus bas à ce sujet).

- Le FBI, via Peter Strzok, fait publier de fausses histoires sur Carter Page dans les médias qui prétendent que Page est un agent russe.

- Basé sur ces articles, le FBI refait une demande d’espionnage sur Carter Page.

- La première demande FISA, en octobre 2016, est approuvée par la cour FISA (FISC). Elle a été signée par le directeur du FBI de l’époque, James Comey, et par la procureur général adjoint de l’époque, Sally Yates. La juge Rosemary Collyer a approuvé la demande. Via la règle de deux sauts (two-hops rule), le FBI espionne Carter Page, tous ses contacts, et tous les contacts de ses contacts. Ça permet au FBI d’espionner Trump légalement (grâce à l’approbation de la FISC), mais sur les bases d’un mensonge et de fausses histoires implantées dans les médias. Ces demandes sont valides pour 90 jours et nécessitent des informations supplémentaires pour être renouvelées.

- Il est impossible de croire qu’Obama n’est pas informé. En entrevue devant le congrès, Lisa Page (sans lien avec Carter Page) affirme qu’elle n’était pas au courant que la CIA espionnait aussi Carter Page. « Si la CIA a fait ça, ce serait hautement inhabituel. »

- Donc John Brennan dirigeait déjà, en secret, depuis juillet, une opération d’espionnage sur la campagne de Trump, fort probablement autorisée par Barack Obama lui-même. Car il est impensable que le directeur de la CIA ferait une telle chose sur le nominé républicain pour la présidence pendant les derniers mois de la course sans l’autorisation du président américain. Je rappelle que parmi les 350+ pages déclassifiées sur les mandats FISA, il en reste 17 de classifiées. Quand Trump a dit qu’il voulait tout déclassifié, il a affirmé que « deux pays l’ont appelé pour lui demander de ne pas faire ça ». Qu’est-ce que « ces deux pays » savent de documents secrets classifiés américains, et pourquoi est-ce que ça les inquiète?…

- Le 17 novembre 2016, l’amiral Mike Rogers de la NSA rencontre Trump en privé et l’avise que sa campagne de transition est espionnée par Obama et la CIA. En soirée, Trump annonce qu’il déménage sa campagne à Bedminster, au New Jersey.

- L’entrevue (plus bas) avec Obama date du 19 décembre 2016;

- Le 10 janvier 2017, Buzzfeed publie le fameux « Dossier Steele », le résultat d’une opération de salissage contre Trump qui a été financée par la campagne d’Hillary Clinton. Ce dossier permet entre autre au FBI de faire une autre demande

- La deuxième demande FISA, en janvier 2017, a également été signée par Comey et Yates. Le juge Michael Mosman a approuvé la demande.

- Le 4 mars 2017, Trump tweet « Obama a écouté mes communications ».

- La troisième demande FISA, en avril 2017, a été signée par Comey et le procureur général par intérim de l’époque, Dana Boente. La juge Anne Conway a approuvé la demande.

- Enfin, la quatrième demande FISA, en juin 2017, a été signée par Andrew McCabe, alors directeur adjoint du FBI, et Rod Rosenstein, alors procureur général adjoint. La demande a été approuvée par le juge Raymond Dearie.

À retenir: L’administration Obama (jusqu’au départ de celui-ci), les dirigeants de la CIA, du FBI et du Département de la Justice américain ont conspiré pour espionner un candidat à la présidence, puis un président-élu, puis un président en poste. Ils l’ont fait sur des bases illégales et anticonstitutionnelles.

TOUTES ces personnes ont participé à des crimes comme la sédition, la haute trahison, etc. Ces crimes sont passibles d’emprisonnement à vie dans une cour civile, et de peine de mort dans un tribunal militaire.

Le 1er mars 2018, Trump signe un ordre exécutif modifiant la Loi sur les Tribunaux Militaires, ouvrant la porte à la possibilité de procès de civils devant des tribunaux militaires pour certains crimes importants, applicable dès le 1er janvier 2019.

Comprenez-vous maintenant pourquoi les démocrates, les ex-politiciens comme Obama et surtout Hillary (pour d’autres enquêtes), les ex-directeurs et dirigeants des agences américaines veulent tous que Trump soit tassé aux prochaines élections? Comprenez-vous pourquoi ils sont aussi féroces et sauvages contre lui? Si Trump reste président, toutes les enquêtes en cours continueront, tous les procès auront lieu, tout sera divulgué et tous ces gens risque de se retrouver en prison, ou pire, condamnés à mort (pour certains).

Ils ont TOUT à perdre, et certain, leur vie. Donc ils jouent le tout pour le tout et toutes les tactiques sont bonnes.

===

Post 3990:

no 3990
Q !!Hs1Jq13jV6
28 Avr 2020 - 19:14:45
d527cc879b23a4138cbf12bbc4b46860c8e68630b3eafee8e06304f4943b592f.jpg
CHAÎNE DE COMMANDEMENT DU FBI SUR ‘MID-YEAR EXAM’ [COURRIELS DE HRC]?
CHAÎNE DE COMMANDEMENT DU FBI SUR L’ENQUÊTE FISA-RUSSIE-PRÉSIDENT-FLYNN-STONE-PAPADOP-MANAF? [LIEN CIA_BRENNAN ACCÈS_AUX_RENSEIGNEMENTS[17]PONT_UKRAINE?
CHAÎNE DE COMMANDEMENT DU FBI SUR L’ENQUÊTE DU PIRATAGE DU DNC? [PONT CIA > UKRAINE CROWDSTRIKE_BRENNAN]?
RECONCILIEZ.
SI LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT + [DOJ-CIA[É + D] EST RECONNUE COUPABLE [ACTE D’ACCUSATION CHAP 115 + [CLAS. 1-99]]]. CONCERNANT : USA Versus. [1-2-3-6] EN LIEN AVEC FISA, PEUT-ON FAIRE VALOIR LE MÊME ARGUMENT CONCERNANT LE ‘MID-YEAR EXAM’ + DNC +++?
[Référence: pour l’optique publique, « retraité » & « à quitté » veut dire « licencié/départ forcé »]
BUREAU FÉDÉRAL « D’INVESTIGATION ».
James Comey, Directeur - RENVOYÉ
Andrew McCabe, directeur adjoint - RENVOYÉ
Jim Rybicki, chef de cabinet et conseiller principal - RENVOYÉ
James Baker, avocat général - RENVOYÉ
Bill Priestap, directeur du contre-espionnage (patron de Strzok) - RENVOYÉ
Peter Strzok, Directeur adjoint adjoint du contre-espionnage - RENVOYÉ
Lisa Page, Bureau de l’avocat général - RENVOYÉ
Mike Kortan, directeur adjoint des affaires publiques - RENVOYÉ
Josh Campbell, assistant spécial de Comey - RENVOYÉ
Michael Steinbach - Chef de la division SEC NAT - RENVOYÉ
John Glacalone - (Prédécesseur de Steinbach) - Chef de la division SEC NAT - RENVOYÉ
James Turgal - Directeur adjoint - RENVOYÉ
Greg Bower - Haut responsable de la liaison avec le Congrès - RENVOYÉ
Trisha Anderson - Principale avocate générale adjointe - RENVOYÉ
Randy Coleman - Directeur adjoint de la division du contre-espionnage - RETIRÉ
Q

Dans ce post, Q fourni la structure de la chaîne de commandement  pour plusieurs enquêtes très importantes du FBI, notamment l’enquête Trump-Russie, l’enquête sur le serveurs de courriels électroniques d’Hillary Clinton et l’enquête sur le supposé « piratage » du serveur DNC. Si les employés de haut niveau du FBI, qui étaient impliqués dans ces enquêtes, ont été licenciés, qu’est-il possible de conclure de l’intégrité des enquêtes? Qu’advient-il de ces enquêtes si les enquêteurs sont condamnés pour des crimes énumérés dans le chapitre 115 du ’18 US Code’ - Trahison, sédition et activités subversives?

L’image attachée est la chaîne de commande du FBI pour « L’enquête de mi-année ». (Elle a été mise à jour dans le post #4681: https://qanonfr.com/q4681/.)

Donc, si on mets tout ça dans l’ordre, ça donne ceci:

La chaîne de commandement du FBI visée ici est celle qui a supervisé les enquêtes sur :
- La supposée collusion entre Trump et la Russie afin de gagner l’élection de 2016;
- L’enquête sur l’utilisation illégale de serveurs de courriels non-autorisés et mal sécurisés par Hillary Clinton;
- Le Général Michael Flynn, Roger Stone, George Papadopoulos & Paul Manafort.

Les enquêtes par l’obtention illégale et anticonstitutionnelle de mandats FISA sur ces différentes personnes a permis à Robert Mueller de déposer des charges criminelles sur Michael Flynn, Roger Stone, George Papadopoulos & Paul Manafort. Mais l’obtention de ces mandats étant illégale, tout ce qui en découle est ce qu’on appelle en droit « le fruit de l’arbre empoisonnée » (« fruit of the poisonous tree ») et donc est automatiquement annulé. Les chances sont que Stone et Manafort seront immédiatement libérés de prison, et seront éligibles, comme Flynn et Papadopoulos (qui a fait 14 jours de prison) à des recours judiciaires contre le Département de la Justice.

La CIA s’occupait de la surveillance (toute aussi illégale) à partir de l’extérieur des États-Unis (à l’étranger) et agissait en tant que pont avec les autres agences et nations (Grande-Bretagne, Italie, Australie, Nouvelle-Zélande, peut-être d’autres). L’opération était dirigée par John Brennan, l’ex-directeur de la CIA (et nous apprendrons bientôt j’espère que c’était sous les ordres d’Obama), qui lui fournissait ses « renseignements » aux 17 autres agences de renseignement américaines. Un exemple de corruption et la création de toute pièce d’un supposé « livre de comptabilité » (black ledger) « utilisé » par Paul Manafort alors qu’il était en Ukraine. L’ex-ambassadrice américaine en Ukraine, Marie Yovanovitch, utilisait sa position politique pour aider Brennan.

La CIA a blâmé la Russie pour le supposé acte de piratage des serveurs du DNC en utilisant Crowdstrike et un groupe nommé « UMBRAGE ». C’est grâce à Wikileaks (bit.ly/2W1cSc4) que nous avons appris que Umbrage avait ramassé plein de techniques de cyberattaques et de logiciels malveillants de pirates connus ou de d’autres nations afin de les utiliser pour camoufler ses propres attaques. Ça leur permettait de faire porter le blâme sur un autre groupe ou une autre nation, essentiellement de faire une attaque sous faux drapeau.

Crowdstrike (une compagnie privée) a reçu le mandat d’enquêter sur le supposé piratage du DNC alors que ça aurait dû aller au FBI. Crowdstrike a utilisé UMBRAGE pour « blâmer la Russie ». Le FBI n’a jamais vérifié si c’était vrai, et ils ont participé à toute l’histoire de collusion entre Trump et la Russie.

Donc en résumé, si toute la chaîne de commandement du FBI, du DOJ et de la CIA (autant à l’étranger qu’en sol américain) est reconnue coupable de crimes très sérieux (on parle de Brennan, Clapper, Comey, leurs subordonnés ainsi que des militaires) comme « sédition », « tenter de renverser le gouvernement », « trahison » et d’autres crimes potentiels encore classifiés, via l’obtention illégale de mandats FISA d’espionnage contre Trump et d’autres, l’argument peut alors être fait que toutes les enquêtes étaient aussi corrompues. Incluant celle sur Hillary Clinton. Et elles devront être refaites (ce qui est certainement déjà en cours).

Gardez en tête que pour que ces nouvelles enquêtes puissent être faites sans embûches par des gens qui ont tout à perdre, ceux-ci ont dû être retirés ou renvoyés. Il fallait faire ce ménage.
=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

 

=-=-=

PORTION DE L’ENTREVUE D’OBAMA À NPR.

[15:42]
Intervieweur: Vous en avez parlé avec le comédien Trevor Noah l’autre jour. Et vous avez dit un certain nombre de choses à la suite. Vous avez fait remarquer qu’il y avait eu des contacts entre des membres du personnel de M. Trump et des fonctionnaires russes. Vous avez noté que M. Trump avait bénéficié des piratages. Votre porte-parole, Josh Earnest, a poursuivi en disant cette semaine qu’il est évident que M. Trump savait ce qui se passait. Dans quelle mesure suggérez-vous une sorte de coopération entre le président élu et les fonctionnaires russes ici présents ?

Barack Obama: Eh bien, je ne suggère pas du tout de coopération. Gardez à l’esprit que ces déclarations s’inscrivent dans le contexte où tout le monde agit maintenant en étant surpris par l’évaluation de la CIA selon laquelle cela a été fait délibérément pour améliorer les chances de M. Trump. Et mon seul point est que cela ne doit pas être traité comme une superproduction car c’est le secret le plus mal gardé dans cette ville.

Tout le monde a compris cela. Cela a été rapporté. Steve, si vous regardez vos histoires, si vous lisez une publication grand public, vous verrez que si vous avez un piratage du DNC et un piratage des e-mails des plus hauts conseillers d’Hillary Clinton, et que ces choses sont ensuite diffusées au compte-gouttes au fil des mois, et qui semblent générer une couverture négative constante malgré le fait qu’il n’y ait rien là-dedans qui soit particulièrement controversé, qu’il s’agisse surtout, comme je l’ai dit, de ragots politiques ou d’e-mails de routine entre des gens qui travaillent dans un environnement de campagne, alors on peut en déduire assez clairement que les gens dessineraient, et ont dessiné, que cela aidait la campagne Trump et que cela nuisait à la campagne Hillary.

Cela ne veut pas dire que la campagne Trump était coordonnée. Cela signifie simplement qu’ils ont compris ce que tout le monde a compris, à savoir que cela n’était pas bon pour la campagne d’Hillary Clinton. Et quand on combine cela avec le fait que le président élu a été très honnête sur son admiration pour Poutine et qu’il espère forger une relation plus coopérative avec lui et se concentrer sur la menace du terrorisme islamique, alors mon seul point est que nous ne devrions pas soudainement agir comme si c’était une énorme révélation.

En octobre, nous avons dit, après avoir été très prudents à ce sujet parce que nous n’avions aucun intérêt à donner l’impression de mettre les pouces sur la balance, nous avons fait ce qui était presque sans précédent, à savoir que toutes les agences de renseignement du gouvernement fédéral sont arrivées à un consensus, que les Russes avaient piraté le DNC. Et les informations qui étaient maintenant divulguées étaient la conséquence d’une décision prise par les services de renseignements russes et les responsables russes au plus haut niveau.

Donc, ce que la CIA évalue maintenant, à savoir si cela a été fait délibérément pour faire pencher l’élection en faveur d’un candidat particulier, ne devrait surprendre personne. Et en fait, ce n’est une surprise pour personne.

Et comme je l’ai déjà dit, la question n’est pas de remettre en cause l’élection. Il s’agit maintenant de tirer les leçons qui s’imposent afin que nous n’ayons pas à chaque cycle électoral une situation dans laquelle vous exercez une influence étrangère importante sur nos campagnes.
=-=-=

P.S.: C’est MA théorie personnelle que le Général Flynn, très probablement derrière l’opération Qanon, en collaboration avec Vladimir Putin et les services de renseignement russes, ont mis sur pied une opération de désinformation afin que les agents corrompus de la CIA, du FBI, du DOJ et de l’administration Obama soient piégés et que leurs crimes soient exposés. Flynn et Rogers étaient clairement déjà au courant de l’espionnage que ces gens corrompus faisaient, et il fallait les exposer.

C’est probablement ce qui explique pourquoi, même après presque trois ans, que Flynn n’a toujours pas reçu de sentence et que le juge a reporté la cause plein de fois, et qu’on parle d’un pardon présidentiel. À mon avis, un pardon présidentiel ne sera pas nécessaire puisque l’enquête de John Durham va révéler que TOUTES les bases de l’enquête Mueller étaient empoisonnées, et donc TOUT ce qui en a découlé deviendra nul et non-avenue. Papadopoulos, Stone, Flynn, Manafort, toutes leurs sentences seront annulées. Mueller et son groupe seront aussi exposés.

 

Finalement, le 5 août 2020, selon le tweet de Ivan Pentchoukov, reporter pour le journal The Epoch Times, Fox News invoque la Convention de La Haye pour demander le témoignage de Julian Assange dans l’affaire portée par la famille de Seth Rich. L’ordonnance a été signée par la juge américaine Sarah J. Netburn dans le District Sud de New York (SDNY). Fox News accepte de prendre en charge les dépens. La réponse a été demandée pour le 1er septembre 2020. À ma connaissance, elle na pas été rendue publique encore.

Le document présente les questions suivantes par Fox News:

Fox News recherche des témoignages en réponse aux questions spécifiques suivantes :
1) Quel a été le rôle de M. Assange (le cas échéant) dans la création de WikiLeaks?
2) Quel a été le rôle de M. Assange (le cas échéant) dans les activités de WikiLeaks en
2016?
3) En 2016 et 2017, quel rôle (le cas échéant) M. Assange a-t-il joué concernant le contenu des messages Twitter de WikiLeaks?
4) Quel a été le rôle de M. Assange (le cas échéant) dans la publication par WikiLeaks, le 22 juillet 2016, de courriels et de documents du Democratic National Committee (DNC), dont il est question à https://wikileaks.org/dnc-emails/?
5) Quand ces courriels et documents ont-ils été fournis à WikiLeaks?
6) Comment WikiLeaks a-t-il obtenu les courriels et les documents du DNC?
7) Quelle(s) personne(s) et/ou quels droits ont fourni les courriels et les documents du DNC à WikiLeaks?
8) Quelle(s) personne(s) et/ou droit(s) a (ont) obtenu ces documents de la DNC?
9) Décrivez tout rôle joué par Seth Rich à votre connaissance dans l’obtention de ces documents et/ou leur fourniture à WikiLeaks.
10) À votre connaissance, WikiLeaks a-t-il déjà offert une récompense pour des informations liées à un meurtre survenu aux États-Unis, autre que le meurtre de Seth Rich? Si oui, à combien de reprises?
11) Pourquoi WikiLeaks a-t-elle offert une récompense pour des informations liées au meurtre de Seth Rich?
12) M. Assange a-t-il déjà communiqué avec Seth Rich de quelque façon que ce soit?
13) Si oui, quel était le contenu de ces communications?
14) Si M. Assange lui-même n’a pas communiqué avec Seth Rich, sait-il si une personne affiliée à WikiLeaks a déjà communiqué avec Seth Rich de quelque façon que ce soit?
15) Dans l’affirmative, a) qui a communiqué avec Seth Rich? Et (b) quel était, à la connaissance de M. Assange, le contenu de cette (ces) communication(s)?
16) M. Assange a-t-il déjà communiqué de quelque manière que ce soit avec un autre membre de la famille Rich, y compris (mais sans s’y limiter) Aaron Rich, Joel Rich ou Mary Rich?
17) Si oui, quel était le contenu de ces communications?
18) À la connaissance de M. Assange, est-ce qu’une autre personne affiliée à WikiLeaks a déjà communiqué de quelque façon que ce soit avec un membre de la famille Rich?
19) Dans l’affirmative, a) qui a communiqué avec la famille Rich? Et (b) quel était, à la connaissance de M. Assange, le contenu de cette (ces) communication(s)?
20) À la connaissance de M. Assange, est-ce que des individus et/ou des ayants droit affiliés à la Fédération de Russie (y compris, mais sans s’y limiter, le FSB, le SVR, le GU (ou le GRU), le FSPSI ou tout autre service de renseignement) ont joué un rôle quelconque dans l’obtention et/ou la fourniture à WikiLeaks des courriels du DNC de 2016 publiés par WikiLeaks?

 

Je termine avec ceci, que j’ai écrit le 11 avril 2019, quand Julian Assange a été expulsé de l’ambassade équatorienne en Angleterre et transporté par la police britannique vers la cour et puis la prison.

Donc une petite mise-à-jour concernant Julian Assange. Je l’écris car Q en a parlé beaucoup.

Je commence par vous rappeler une chose importante: le 26 juillet 2018, Q publiait un message (#1595) qui disait « Vous avez peut-être le site, mais nous avons la source. » Il parlait de Wikileaks et de Julian Assange. (En fait, nous présumons qu’il disait que l’état profond avait pris le contrôle du site Wikileaks.) Donc l’impression est que Assange était protégé par Trump et compagnie. Ce message a été répété le 11 août (nous avons la source).

Ce matin, Assange a été arrêté pour « violation de caution » (bit.ly/2VDTG2S). En résumé, il avait été accusé d’agression sexuelle par une femme en Suède et un mandat d’arrestation avait été émit contre lui. L’accusation fût éventuellement retirée mais un juge a déterminé que l’arrestation restait car il avait fuit la justice et le mandat d’arrestation (archive.is/GngOv).

En sortant de l’ambassade, Assange avait dans ses mains le livre « L’histoire de l’État de Sécurité Nationale » de Gore Vidal (amzn.to/2URf8El). Voici le résumé du livre: « Qu’est-ce que l’État de la sécurité nationale? Eh bien, tout a commencé officiellement avec la loi de 1947 sur la sécurité nationale; elle a été mise en œuvre en janvier 1950 lorsque le Conseil de sécurité nationale a produit un projet pour un nouveau type de pays, comme les États-Unis n’en avaient jamais connu auparavant. Ce document, connu sous le nom de NSC-68, et déclassifié seulement en 1975, nous engageait et nous engage toujours, à juste titre, dans le programme suivant: Premièrement, ne négociez jamais, jamais, jamais, avec la Russie. Cela ne pouvait pas durer indéfiniment, mais la mauvaise foi obligatoire des réunions de l’US-URSS continue de servir le plan. Deuxièmement, mettre au point la bombe à hydrogène pour que, lorsque les Russes mettront enfin au point une bombe atomique, nous n’ayons toujours pas affaire à l’ennemi sans lequel l’État de sécurité nationale ne peut exister. Troisièmement, constituer rapidement des forces militaires conventionnelles. Quatrièmement, augmenter considérablement les impôts pour payer tout cela. Cinquièmement, mobiliser toute la société américaine pour combattre le terrible spectre du communisme. Sixièmement, mettre en place un système d’alliance fort, dirigé par les Etats-Unis (devenu l’OTAN). Septièmement, faire du peuple russe nos alliés, par le biais de la propagande et d’actes courageux de la CIA, dans cette sainte aventure, la justification de toutes sortes de services secrets qui ne sont en aucun cas responsables devant le Congrès qui les finance, et donc en violation de l’ancienne Constitution. »

Assange a par la suité été ‘arrêté’ et chargé à nouveau (bit.ly/2G6G6OS), cette fois par les États-Unis en lien avec un mandat d’arrêt international, pour « complot avec Chelsea Manning en 2010 et complot en vue de commettre une intrusion informatique » (bit.ly/2GaALGb). Assange a plaidé non coupable (bit.ly/2G6Hdy2) à l’accusation d’avoir omis de se rendre en détention comme l’exige une ordonnance d’extradition vers la Suède. Il risque 5 ans de prison pour cela. Il a aussi été reconnu coupable d’avoir violé sa liberté sous caution et risque une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 12 mois s’il est reconnu coupable par la Crown Court (britannique). (bit.ly/2D7elFm)

Ce matin, le président équatorien, Lenin Moreno, affirmait dans une vidéo publiée sur un compte twitter du gouvernement (bit.ly/2UO8EWF) qu’Assange avait dépassé les limites demandées par le gouvernement, et donc, il l’a remis aux autorités britanniques, après l’entente que celui-ci ne serait pas extradé dans un pays où la peine de mort est possible. On sait bien qu’il parle des États-Unis ici, mais il est fort probable qu’Assange s’y retrouve quand même éventuellement, et qu’il soit appelé à témoigner devant le Congrès ou le Sénat américain.

On se rappellera que l’histoire de collusion Entre Trump et la Russie a commencé quand le DNC (Democratic National Committee) a affirmé avoir été piraté par la Russie. Wikileaks a publié les courriels du DNC et le DNC a automatiquement dit que la Russie aidait Trump. Hors, Julian Assange, à l’époque, avait affirmé que la Russie n’avait pas fournit ces messages à Wikileaks, plutôt qu’ils étaient sur une clé USB transmise de main à main. D’ailleurs, Wikileaks avait dit que la vitesse de transfert des courriels était plus élevée que la bande passante disponible via la connexion Internet du DNC, et donc, ça excluait tout forme de piratage externe.

Une théorie qui prévaut présentement est qu’un employé du DNC du nom de Seth Rich, a découvert les courriels de Donna Brazile, Debbie Wasserman-Schultz et d’autres personnes en position d’autorité au DNC, dans lesquels ont pouvait lire qu’ils s’organisaient pour que Bernie Sanders ne soit pas le candidat du DNC dans la course présidentielle de 2016, mais que ce soit plutôt Hillary Clinton. Quand il a découvert ça, il a copié les courriels sur une clé USB, qu’il a transmit à Wikileaks. 2 jours plus tard, il a été retrouvé mort dans les rues de Washington suite à un « vol à main armé qui a mal tourné ». Les « voleurs » n’ont pas pris son porte-feuille ni sa montre ni ses bijoux… C’est pour cette raison que vous pouvez voir le mot-clic sur twitter « His name was Seth Rich » (« Son nom était Seth Rich ») (bit.ly/2G6Hdy2) et sur cette affiche (bit.ly/2UbuX4p) lors d’un rassemblement pro-Trump.

Donc Assange a été arrêté ce matin et est passé devant la cour suite à ces charges criminelles: bit.ly/2G4re3z. Il revient en cours le 2 mai par conférence vidéo concernant son extradition possible aux États-Unis (bit.ly/2GhdKTm). (Pour l’instant, Assange est présumément encore en Angleterre, en prison.)

Il a été dit qu’Assange a résisté à son arrestation. Je vous invite à vous poser la question suivante: « Si Assange avait résisté à son arrestation, pourquoi tenait-il un livre (sur « L’État de la Sécurité Nationale » ) dans ses mains? À ma connaissance, les gens arrêtés sont menottés, les mains dans le dos, pas transporté par 4 personnes, menotté, et avec un effet personnel de leur choix dans leurs mains. De plus, Assange cachait tout sauf le titre. Et le tout a été très bien capturée de façon claire et nette par au moins un photographe/vidéo (un photographe a été bloqué par un policier mais l’autre est passé sans aucun problème.)

Tout ça me semble être un beau coup de théâtre bien organisé. C’est la raison pour laquelle je crois qu’Assange est en sécurité et qu’il a obtenu une entente avec l’Administration britannique et/ou américaine. Q l’a demandé à quelques reprises: « Comment faire pour légalement introduire des preuves? » En injectant Assange dans un procès.

Et de toute façon, Trump a annoncé son soutient à Assange (bit.ly/2uWhnYs)

N’oublions pas que mercredi dernier, le procureur général William Barr a annoncé qu’il était au courant de l’espionnage qui a eu lieu contre Trump et qu’il regardait ça avec attention. Et le lendemain, Assange est sorti de l’ambassade… Croyez-vous aux coïncidences?

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