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Q4640

no 4640
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9 Sep 2020 - 18:49:30

 

 

 

 

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Changement intéressant des événements.
Attaques hebdomadaires [fausses] + dénonciateur(s) [faux].
[1er [Vindman] coordonné avec [AS] [dénonciateur] faux narratif concernant l’Ukraine [Biden tentait de s’en tirer] retour à l’actualité [légal]]?
[AS] préparation en coulisses [2e dénonciateur]?
[AS] préparation en coulisses [3ème dénonciateur] _SECURITÉ NATIONALE?
[SR 1-4] du Pentagone préparent un scénario en cas de [refus]?
USD(I)_JCS [2]
Narratif du ‘refus de concéder’?
Contestation judiciaire des états [4] balanciers.
Récolte des bulletins de vote [4] [illégalement] [CA -1].
Tout est en jeu.
Gagner par tous les moyens nécessaires.
Planifiez en conséquence [novembre].
Q

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MON ANALYSE
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Ce post est, pour moi, un exemple que c’est une équipe qui est derrière Q et que ce n’est pas toujours la même personne qui poste. Il est vraiment moins clair que la majorité des autres posts, mais ressemble à une bonne quantité parmi ceux-ci. Plus d’abréviations, et il s’adresse à un public clairement plus habitué aux messages de Q.

[AS] = Adam Schiff, le représentant démocrate qui a inventé plein d’histoires contre Trump, ne cesse de mentir sur tout, et sur qui le Département de la Justice américain a certainement une enquête d’ouverte pour avoir coulé plein d’informations classifiées aux médias.

Les « états balanciers » (en anglais « swing states » ou « battleground states ») sont les états qui peuvent changer leur couleur à chaque élection. New York est pratiquement toujours bleu, le Wyoming est pratiquement toujours rouge, ce ne sont pas des états balanciers, des « swing states ».

Ce que Q dit dans son message, c’est que des contestations judiciaires dans au moins 4 états balanciers sont prévues, et aussi qu’en Californie (et certainement dans d’autres états démocrates), que la récolte des votes par correspondance se fait de façon illégale. Il est probable que les votes par correspondances soient utilisés de façon illégale, par exemple en postant des centaines de milliers, voire des millions, qui étaient destinés à des gens déménagés ou décédés.

Le « narratif du refus de concéder » est celui des démocrates qui disent que Trump ne voudra pas quitter la Maison Blanche advenant sa défaite. Si, par exemple, au lendemain de l’élection, on s’aperçoit que le vote populaire est très fortement démocrate, ils pourraient crier à l’expulsion du président en nourrissant plein de manifestations populaires, soutenus par les groupes quasi-terroristes Antifa et BLM (le mouvement BLM étant détourné et contrôlé aux profits des démocrates).

Mais n’oubliez pas que ce n’est pas le vote populaire qui détermine le président aux États-Unis, c’est le Collège Électoral. Les élections présidentielles est une série de 50 élections, une par état. En 2016, grâce à la fraude démocrate (faire voter les morts et les immigrants illégaux, entre autre), Killary avait obtenu un plus haut résultat dans le vote populaire, mais ce n’était qu’en Californie. Si on enlève la Californie, Trump gagnait le vote populaire.

Le Collège Électoral sert à éviter qu’un état plus populeux, comme la Californie, ne dicte qui sera le prochain président (et les politiques) pour les 49 autres états. Chaque état a ses propres besoins, ceux du Dakota du sud sont différents de ceux de la Louisiane, et donc c’est le Collège Électoral qui nomme le président. Les gens qui s’en plaignent crient que ce n’est pas démocratique, et c’est vrai, car les États-Unis sont une république. Ce n’est pas pour rien que les démocrates, depuis 2016, veulent l’abolition du Collège Électoral. Grâce à la fraude électorale, ça leur permettrait d’élire que des démocrates pour le reste de la vie de la république.

Revenons à Vindman et l’Ukraine. Après l’appel entre Trump et le président Ukrainien (Zelensky), un lanceur d’alerte (dénonciateur), le Lt.-Colonel Alexander Semyon Vindman, convenablement né en Ukraine, a travaillé en coulisse avec Adam Schiff pour inventer une histoire de quid pro quo.

Schiff a dit que Trump a menacé Zelensky de ne pas fournir d’aide s’il n’enquêtait pas sur les tergiversations illégales de Joe Biden. Schiff a même lu un faux script téléphonique, inventé de toute pièce, pour faire mal paraître Trump.

Mais Trump a rendu publique la transcription de l’appel téléphonique. Non seulement il n’y avait pas de quid pro quo, mais il n’y avait rien d’illégal non plus. Et la version de Schiff n’avait rien à voir avec la version officielle. Schiff a été exposé comme un traître, encore une fois.

Cette manoeuvre de Schiff et compagnie était pour rediriger l’attention qu’il y avait sur l’Ukraine et Biden vers Trump. Biden s’était vanté sur vidéo qu’il avait menacé l’administration ukrainienne précédente de ne pas transférer 1 milliard en aide militaire si le président ne renvoyait pas le procureur général qui enquêtait sur les liens entre son fils et Burisma Holdings, une compagnie gazière ukrainienne.

Pour qu’une plainte soit prise en considération, il faut que le lanceur d’alerte ait pris connaissance personnellement (de première main, « first-hand knowledge) de la chose qu’il veut dénoncer. Hors, Vindman a décidé de porter plainte alors qu’il a « entendu parler d’un quid pro quo ». Il n’avait pas personnellement connaissance de l’acte, mais l’inspecteur général de l’époque a décidé de modifier les règles pour lui permettre (à Vindman) de quand même déposer sa plainte. L’inspecteur général a été renvoyé par la suite.

Cette plainte, fondée sur un mensonge total, a été utilisée au maximum par les démocrates pour attaquer Trump sans arrêt. Éventuellement, le congrès démocrate a voté en faveur de l’approbation d’articles de destitutions factices (des actes d’accusations inventés reposant sur une absence de crimes), montrant au reste du monde que les démocrates n’ont qu’une seule envie, celle de faire tomber Trump, même s’il faut publiquement s’exposer comme des traîtres à la nation.

Nancy Pelosi attendit plus de trois semaines avant de transférer les actes de destitutions au sénat. En fait, elle attendit que le premier passager infecté par le virus du covid entre aux États-Unis (15 janvier 2020). Tout le monde moindrement un peu informé savait que ça n’irait nulle part, puisque le sénat est majoritairement républicain, et eux n’allaient pas voter en faveur des actes de destitutions. Ce fût rapidement réglé, mais le mal était déjà fait. Les démocrates avaient une fois de plus fait autre chose que ce pour lesquels ils avaient été élus au départ, c’est-à-dire représenter le peuple.

L’histoire des deux lanceurs d’alertes concernant l’Ukraine était fausse (la 2ème n’ayant pas décollé), et celle-ci, piloté encore par Adam Schiff, l’est tout autant. Cette fois, c’est encore une autre histoire concernant les russes. Pour Schiff, c’est toujours les russes… Il ne s’agit de rien d’autre qu’une autre opération de sabotage pour influencer l’élection et créer un air de non-légitimité autour de l’élection.

Je rappelle que si Trump est réélu, beaucoup d’individus, élus et non-élus, risquent de voir leurs crimes exposés au grand jour. Certains risques la prison à vie, et d’autres, la mort.

Ils ont TOUT à perdre, et donc, TOUTES les tactiques sont bonnes, incluant se montrer ouvertement traître à la nation.

Quand Trump parle de planifier en conséquence de Novembre, il parle de ce que l’état profond est prêt à faire pour ne pas permettre à Trump de gagner. On parle [peut-être] ici de manifestations monstres, d’attaques cybernétiques sur les infrastructures essentielles (eau, gaz, électricité), d’attaques électro-magnétiques, d’attaques sur le système électronique d’élections, etc. Le lendemain des élections, si Trump remporte, soyez assurés que des centaines de milliers de petits bébés pleurnichards seront dans les rues, à essayer d’obtenir du capital de sympathie.

En terminant, si on retourne au post 4425 partagé par Q, il nous dit que l’administration Trump est prête pour la charge médiatique des médias de masse contrôlés par le parti démocrate (les MSDNC), et qu’ils sont prêts pour les « surprises d’octobre » (j’imagine autant les leurs que celles de leurs ennemis). Une « surprise d’octobre » (« October surprise ») est quelque chose de rendu public un peu avant l’élection afin d’en affecter le résultat. C’est une surprise dont on espère qu’elle aura du punch, qu’elle frappera fort, et aidera à faire pencher l’électorat en faveur de ceux qui ont rendu publique la « surprise ».

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Pour la traduction et l’analyse de ce post, exceptionnellement, je vous ai aussi traduit ce que Praying Medic a écrit car c’est bien monté, clair, et il y a une chronologie d’évènements qui aide à comprendre ce post.

Il est essentiel de comprendre le timing des événements dans la tentative de destitution du président Trump afin de comprendre la stratégie globale de l’État profond.

L’équipe de Robert Mueller a fait de son mieux pour faire tomber POTUS (President Of The United States - Président Des États-Unis) au cours d’une enquête de deux ans, qui, selon le ministère de la Justice, n’avait pas de base légale. Lien

Le 24 juillet 2019, Robert Mueller a témoigné devant la Commission judiciaire du Sénat, mettant ainsi fin à sa participation à l’opération contre Trump.

Après l’échec de Mueller, l’État profond a élaboré un plan différent.

Le lendemain du témoignage de Mueller devant le Sénat, POTUS a eu un appel téléphonique avec le président ukrainien Zelensky. Bien que l’appel n’ait rien d’illégal, un membre du Conseil national de sécurité a déposé une plainte pour dénonciation (lanceur d’alerte).

L’inspecteur général de la communauté des services de renseignement qui a reçu la plainte a discrètement modifié les règles applicables aux dénonciateurs, qui n’autorisaient auparavant pas les plaintes fondées sur des informations de seconde main.

Adam Schiff a présidé les auditions qui ont conduit le Parlement à voter des articles de mise en accusation contre POTUS, malgré le fait qu’aucun crime ne soit mentionné dans ces articles.

Les adversaires du président savaient que le Sénat ne le condamnerait pas, mais ce n’était pas le but de la mise en accusation. Le but était de donner du temps d’antenne aux personnes qui détestent POTUS afin qu’elles puissent salir sa réputation dans le tribunal de l’opinion publique.

L’inégalité raciale n’est généralement pas une question d’intérêt public, sauf tous les quatre ans lors d’une élection. Le mouvement Black Lives Matter n’est pas pertinent, sauf les années d’élection, comme le montre cette tendance de Google.

Avec des résultats mitigés, les ennemis du président ont utilisé la question raciale comme arme pour tenter de le démettre de ses fonctions.

En juillet, des manifestants se sont rassemblés devant la Maison Blanche pour demander la destitution du président.

En juin, Dan Bongino a déclaré qu’il avait des informations sur les chefs militaires qui envisagent une mutinerie contre POTUS.

Au même moment, la mairesse de Washington DC, Muriel Bowser, a tenté d’expulser des membres de l’armée et des forces de l’ordre de la capitale.

Pourquoi la mairesse voudrait-elle retirer les services de protection de la capitale?

Que se passerait-il si le périmètre de sécurité de la Maison Blanche était violé?

En juin, Q a appelé ceux qui ont prêté serment d’office à respecter leur engagement et à servir le pays avec honneur.

Q a appelé les loyalistes de l’armée à soutenir le président. Il a décrit les mesures que d’autres loyalistes prendraient si une tentative était faite pour le démettre de ses fonctions, illégalement.

La dernière initiative de l’État profond est une tentative de dépeindre le président comme un anti-militaire. Le journal The Atlantic a mené la charge avec un article basé sur des sources anonymes, affirmant que POTUS a déclaré qu’un cimetière militaire était rempli de « perdants ». (Voir post #4637)

Pourquoi les médias pousseraient-ils le récit selon lequel Trump a toujours détesté les militaires? Ils ont besoin que nous pensions que l’armée a une raison légitime de se rebeller contre lui.

Le 5 juin, il a été révélé que d’anciens généraux participeraient à une réunion publique en septembre où ils prétendraient que Trump était inapte à exercer ses fonctions. Il semble presque que le récit « Trump contre l’armée » ait été planifié il y a des mois.

Q a déclaré que la stratégie « atout contre militaire » était déjà connue et que des plans étaient en cours d’élaboration pour limiter les dégâts qu’elle pourrait causer. Une ou plusieurs « surprises d’octobre » sont en cours de préparation.

Q a reposté son message de juin ci-dessus et a mis à jour la chronologie des événements. Adam Schiff, [AS] Alexander Vindman, et d’autres ont secrètement collaboré à une tentative de suppression de POTUS par le biais de plaintes de dénonciateurs.

Q a écrit: « [SR 1-4] du Pentagone préparent un scénario en cas de [refus]? » De hauts fonctionnaires du Pentagone préparent secrètement un essai sur le récit selon lequel si Trump perd, il devra peut-être être démis de ses fonctions par la force s’il refuse de partir.

Q a écrit : USD(I)_JCS [2]. USD(I) est l’acronyme de Undersecretary of Defense for Intelligence (Sous-secrétaire à la défense pour le renseignement).

L’USD(I) actuel est Joseph Kernan.

JCS est un acronyme pour Joint Chiefs of Staff (état-major interarmées).

Le JCS est composé du président, du vice-président et des chefs actuels des six branches de l’armée américaine.

Je suppose (bien que je puisse me tromper) que Q suggère que deux membres de l’état-major interarmées et le sous-secrétaire à la défense pour le renseignement sont impliqués dans un plan visant à retirer POTUS de ses fonctions.

La corruption est très répandue à Washington. POTUS et l’armée pourraient mettre fin à certains des événements bizarres auxquels nous assistons, mais le public doit être sensibilisé aux réalités de la corruption. Il faut les pousser au précipice avant qu’ils ne deviennent des participants au processus.

Je termine avec les dernières lignes du poste 4640:

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Narratif du ‘refus de concéder’?
Contestation judiciaire des états [4] balanciers.
Récolte des bulletins de vote [4] [illégalement] [CA -1].
Tout est en jeu.
Gagner par tous les moyens nécessaires.
Planifiez en conséquence [novembre].
Q

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La presse va continuer à pousser le narratif que Trump refusera de concéder s’il perd, ce qui crée le besoin de faux sondages qui montrent Biden en tête.

La récolte des votes est encouragée dans des États balanciers comme la Caroline du Nord et cette pratique a été étendue à la Californie.

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