no 4664
10-Sep-2020 9:48:20 PM EDT
Q !!Hs1Jq13jV6
>>10597679
Hey Q, pourquoi des sociétés privées comme Twitter et FB sont-elles autorisées à obtenir des informations du gouvernement/DARPA pour censurer les Américains?
>10597859
foxnews.com/politics/dems-deploying-darpa-funded-information-warfare-tool-to-promote-biden
Excellente question - vous devriez la poser (comme tout Américain d’ailleurs).
Q
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MON ANALYSE
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Un anon pose une question à laquelle Q répond en fournissant un lien qu’il a déjà partagé dans le post 4096 du 4 mai 2020. Je vous recopie mon analyse de ce post ci-dessous.
DARPA = Defense Advanced Research Projects Agency = Agence des projets de recherche avancée de la défense.
On a parlé de DARPA à plusieurs reprises, notamment de leur implication dans la création de Google et Facebook. Si vous voulez une explosion de connaissances à ce sujet, consultez le post 2984 (tinyurl.com/yclmu3kk). Faites de la recherche sur « Lifelog ».
Bref, l’article mentionne que les démocrates déploient un outil de guerre de l’information basé sur une intelligence artificielle et financé par DARPA pour cibler les comptes pro-Trump.
Q mentionne « »Guerre de l’information », Imaginez cela. » parce que ça fait plusieurs fois qu’il le dit dans des messages précédents. Comme s’il le savait déjà…
Gardez en tête que les démocrates sont prêts à tout pour gagner les élections, même à sacrifier la moralité et la vérité. Par exemple, l’individu dans l’article dit que « le logiciel a servi quand le président a dit de s’injecter du désinfectant », chose qui est absolument et totalement fausse.
L’article est très intéressant. C’est à se demander qui a fournit ces informations à de reporter…
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Un comité d’action politique anti-Trump démocrate, conseillé par le général d’armée à la retraite Stanley McChrystal, prévoit de déployer un outil de guerre de l’information qui aurait reçu un financement initial de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), le bras de recherche secret du Pentagone - transformant la technologie initialement envisagée comme un moyen de combattre la propagande d’ISIS en une plateforme de campagne au profit de Joe Biden.Le Washington Post a d’abord rapporté que l’initiative, appelée Defeat Disinfo, utilisera « l’intelligence artificielle et l’analyse des réseaux pour cartographier les discussions sur les prétentions du président sur les médias sociaux », puis tentera « d’intervenir » en « identifiant les contre-narratifs les plus populaires et en les renforçant grâce à un réseau de plus de 3,4 millions d’influenceurs à travers le pays - dans certains cas en payant des utilisateurs ayant de nombreux partisans pour prendre parti contre le président ».
Le gourou des médias sociaux Curtis Hougland dirige Defeat Disinfo, et il a déclaré avoir reçu le financement de DARPA lorsque son travail faisait « partie d’un effort pour combattre l’extrémisme à l’étranger ». Il a expliqué dans une interview au Post qu’il était mécontent que les grands comptes des médias sociaux soutiennent souvent Trump, et qu’il avait efficacement défendu le président ces derniers jours contre les affirmations selon lesquelles il aurait suggéré aux Américains de s’injecter du désinfectant.
Cet effort a soulevé la question de savoir si l’argent des contribuables était réaffecté à des fins politiques, et si les plateformes de médias sociaux avaient mis en place des règles qui pourraient contrecarrer les efforts de Hougland - s’il joue le jeu.
Dans une déclaration à Fox News qui a été publiée sur les médias sociaux, DARPA a catégoriquement rejeté le reportage du Post, et a déclaré que Hougland déformait apparemment le travail de l’agence.
« L’affirmation de Hougland selon laquelle la DARPA a financé la technologie au cœur de son travail politique est grossièrement trompeuse », a tweeté DARPA. « Il a brièvement donné des conseils sur les moyens de contrer ISIS en ligne. Il n’a pas été consulté pour la conception d’outils d’analyse ou d’IA, ni certainement pour quoi que ce soit de politique à distance. DARPA est strictement apolitique ».
« Hougland a eu un rôle de consultant tertiaire en conseillant un programme d’agence sur la façon d’explorer de nouvelles et meilleures façons de contrer les adversaires de l’Amérique en ligne », a déclaré séparément un porte-parole du DARPA à Fox News. « Il n’a pas été consulté pour son expertise technique dans la conception d’outils d’intelligence artificielle ou d’analyse de réseau, ni certainement pour des recherches qui étaient de loin politiques. … Sans équivoque, le financement de DARPA n’a pas aidé à faire avancer la technologie avec laquelle Hougland travaille maintenant, pas plus que son utilisation des technologies d’autres agences comme l’internet ou le téléphone portable ».
Pendant ce temps, un porte-parole de Facebook a déclaré à Fox News que « nos politiques exigent que les créateurs et les éditeurs marquent leurs partenaires commerciaux dans leurs publications de contenu de marque lorsqu’il y a un échange de valeur entre un créateur ou un éditeur et un partenaire commercial ».
Les politiciens et les PAC (Political Action Committees) qui sont autorisés par la politique de Facebook intitulée « Publicités sur les questions sociales, les élections ou la politique » sont autorisés à utiliser l’outil de contenu de marque du site, a ajouté le porte-parole. La politique suggère que si Hougland payait des influenceurs, l’arrangement devrait être divulgué.
Dans le cadre du processus d’autorisation des annonceurs, Facebook indique sur son site qu’il « confirme leur identité et leur permet de révéler qui est responsable de l’annonce, qui apparaîtra sur l’annonce elle-même ». L’annonce et la clause de non-responsabilité « Payé par » sont placées dans la bibliothèque d’annonces pendant sept ans, avec des informations supplémentaires telles que la gamme de dépenses et les impressions, ainsi que les données démographiques des personnes qui l’ont vue ».
Un porte-parole de Twitter n’a pas immédiatement fourni un commentaire enregistré à Fox News. En 2018, Twitter a lancé sa politique de campagne politique, qui promet un certain degré de « transparence » pour les communications politiques payantes.
La politique exige que « les annonceurs qui veulent diffuser des publicités de campagne politique pour les élections fédérales s’identifient et certifient qu’ils sont situés aux États-Unis. Les candidats et les comités devront fournir leur carte d’identité de la FEC, et les organisations et individus non enregistrés auprès de la FEC devront soumettre un formulaire notarié ».
En outre, « les poignées utilisées pour les publicités de campagne politique devront se conformer à des exigences plus strictes », selon la politique de Twitter. « La photo de profil, la photo d’en-tête et le site web de l’identifiant doivent être cohérents avec sa présence en ligne et la biographie de Twitter doit inclure un site web qui fournit des informations de contact valides. Nous inclurons également un badge visuel et des informations sur les contenus promus à partir de comptes certifiés dans un futur proche. Cela permettra aux utilisateurs d’identifier facilement les annonces de campagne politique, de savoir qui les a payées et si elles ont été autorisées par un candidat ».
Twitter a fourni une image de ce à quoi ressemblerait idéalement un contenu politique promu.
McChrystal, qui dirigeait les forces américaines en Afghanistan avant d’être licencié par le président Obama en 2010 pour avoir ridiculisé ses patrons civils dans une interview à Rolling Stone, a déclaré au Post que l’opération était nécessaire, même si elle pouvait paraître incongrue.
« Tout le monde souhaite que la boîte de Pandore soit fermée et que rien de tout cela n’existe, mais c’est le cas », a déclaré M. McChrystal.
McChrystal n’a pas explicitement soutenu Biden, même si le nouveau projet de guerre de l’information est destiné à aider sa candidature. L’ancien général a déjà fait une évaluation peu élogieuse des compétences de Biden.
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Par la suite, DARPA a répondu sur twitter: